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Les Australiens en voyage à l'étranger ont pris l'habitude de se tourner vers leurs représentants diplomatiques au moindre pépin, souligne un rapport, qui qualifie de "peu réalistes" nombre de demandes et s'inquiète de la charge de travail et des coûts pour les consulats.
"De plus en plus d'Australiens à l'étranger demandent au gouvernement d'intervenir pour régler leurs affaires, même si leurs difficultés sont anodines, pouvaient être facilement évitées, et ont pour cause l'imprudence", note ce rapport publié par l'institut Lowy, à Sydney.
"Cela semble en contradiction avec une culture nationale qui s'enorgueillit de sa résistance et sa débrouillardise", ajoute-t-il.
"Ces demandes croissantes pour les consulats australiens à l'étranger deviennent de plus en plus difficiles à satisfaire", d'autant que plusieurs exemples laissent deviner que certains voyageurs "ont le sentiment d'avoir tous les droits".
Et de citer un couple sur le point d'embarquer à bord d'un avion envoyé par le gouvernement pour évacuer les touristes au Caire en 2011 --lors du printemps arabe-- qui a demandé au consulat s'ils obtiendraient des miles pour ce vol, gratuit. D'autres voyageurs en partance demandent au ministère des Affaires étrangères de bien vouloir s'occuper de leur chien pendant leur absence, ou de les renseigner sur les dangers du sable du désert pour les asthmatiques.
Le rapport presse le gouvernement d'encourager les voyageurs à prendre leurs responsabilités, estimant que les interventions telles qu'elles se déroulaient dans le passé "ne sont absolument plus possibles" de nos jours.
"De plus en plus d'Australiens à l'étranger demandent au gouvernement d'intervenir pour régler leurs affaires, même si leurs difficultés sont anodines, pouvaient être facilement évitées, et ont pour cause l'imprudence", note ce rapport publié par l'institut Lowy, à Sydney.
"Cela semble en contradiction avec une culture nationale qui s'enorgueillit de sa résistance et sa débrouillardise", ajoute-t-il.
"Ces demandes croissantes pour les consulats australiens à l'étranger deviennent de plus en plus difficiles à satisfaire", d'autant que plusieurs exemples laissent deviner que certains voyageurs "ont le sentiment d'avoir tous les droits".
Et de citer un couple sur le point d'embarquer à bord d'un avion envoyé par le gouvernement pour évacuer les touristes au Caire en 2011 --lors du printemps arabe-- qui a demandé au consulat s'ils obtiendraient des miles pour ce vol, gratuit. D'autres voyageurs en partance demandent au ministère des Affaires étrangères de bien vouloir s'occuper de leur chien pendant leur absence, ou de les renseigner sur les dangers du sable du désert pour les asthmatiques.
Le rapport presse le gouvernement d'encourager les voyageurs à prendre leurs responsabilités, estimant que les interventions telles qu'elles se déroulaient dans le passé "ne sont absolument plus possibles" de nos jours.









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