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Contacté par nos soins, Larbi Lakhrim, secrétaire général du Syndicat démocratique du secteur, nous a déclaré que la décision du Département de tutelle qui refuse la suppression de ces échelles, comme décidé par le gouvernement, concerne 58 mille agents. Un chiffre qui en dit long sur la souffrance de cette frange, combien utile et indispensable.
Dans ce cadre et à défaut de données ou études sur les nouvelles alternatives que pourrait proposer le ministère, il a été convenu d’un commun accord de revenir le mercredi prochain à la table du dialogue pour être mis au courant de sa réponse, nous a-t-il souligné. Ces alternatives pour ces agents concernent également des revendications matérielles, de droit, de promotion, entre autres.
Par ailleurs, il a nous a indiqué non sans amertume que les employés des collectivités locales se sentent lésés et ne demandent qu’à êtres alignés sur le statut de la Fonction publique. Un traitement sur un pied d’égalité à même de permettre à ce personnel de travailler et de vivre dignement. Passer d’un critère à l’autre, selon l’humeur du jour, est inacceptable et inadmissible, a-t-il relevé.
Les revendications des collectivités locales consistent non seulement à respecter les libertés syndicales et annuler l’article 05-50 réglementant le statut de base de la Fonction publique, mais à faire bénéficier tous les employés de la promotion interne, indemniser les concernés sur les risques de travail, appliquer l’échelle mobile des salaires, l’intégration et la titularisation des agents temporaires et agents de la Promotion nationale, entre autres.