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Le confinement a généré de grandes frustrations en matière de routine beauté. Combien d’hommes et de femmes ont recherché sur le web des idées, des astuces ou des conseils pour rafraîchir leur coupe de cheveux, faire une coloration, ou s’offrir une bulle de bien-être avec des soins à réaliser depuis leur salle de bain ? Si les professionnels de la beauté ont rouvert les portes de leurs sanctuaires, certaines marques prennent les devants sur une potentielle seconde vague - ou plus simplement sur l’avenir du secteur - en digitalisant leur offre de soins. C’est le cas d’Optiphi, une marque originaire d’Afrique du Sud qui a lancé des soins du visage digitaux.
Pour profiter de ces soins du visage nouvelle génération, il suffit de commander l’un des trois kits proposés sur le site de la marque, qui vous sera livré chez vous, et d’attendre qu’une esthéticienne vous contacte pour fixer un rendez-vous virtuel. Lors de la séance, le ou la professionnel(le) vous guidera pour réaliser le soin avec les gestes adéquats et mélanger les produits si nécessaire, vous conseillera par rapport à votre type de peau, et surveillera si votre peau réagit bien à l’application des différents produits. Si cette nouvelle tendance est plus que tentante, certaines questions se posent malgré tout. Est-on réellement capable de reproduire la gestuelle - souvent technique - des professionnels de la beauté ?
Et quid de la notion de détente inhérente à un soin en institut? “Avec la Covid-19, nous allons assister à l’émergence de concepts de ce style, mais nous allons passer d’un moment de conseils et de détente à quelque chose de virtuel où il n’y aura plus aucune notion de plaisir. Finalement, ça n’a plus rien à voir”, explique le Dr Isabelle Rousseaux, dermatologue esthétique et membre du bureau du syndicat national des dermatologues. Le confinement a montré que les hommes et les femmes étaient prêts à passer à l’ère digitale dans de nombreux domaines. Mais les modes de consommation restent bien différents d’un pays à l’autre, avec des spécificités propres à chacun.
Le confinement a beaucoup aidé, il faut dire. Si les professionnels du secteur n’ont pas eu le temps de faire émerger ce type de soins à distance, nombreux sont ceux qui ont commencé à proposer des diagnostics en ligne, que ce soit pour la peau, afin de permettre à chacun d’acheter des soins adaptés, ou pour les cheveux dans l’optique de réaliser une coloration à domicile. Des procédés qui devraient tôt ou tard se démocratiser.
Pour profiter de ces soins du visage nouvelle génération, il suffit de commander l’un des trois kits proposés sur le site de la marque, qui vous sera livré chez vous, et d’attendre qu’une esthéticienne vous contacte pour fixer un rendez-vous virtuel. Lors de la séance, le ou la professionnel(le) vous guidera pour réaliser le soin avec les gestes adéquats et mélanger les produits si nécessaire, vous conseillera par rapport à votre type de peau, et surveillera si votre peau réagit bien à l’application des différents produits. Si cette nouvelle tendance est plus que tentante, certaines questions se posent malgré tout. Est-on réellement capable de reproduire la gestuelle - souvent technique - des professionnels de la beauté ?
Et quid de la notion de détente inhérente à un soin en institut? “Avec la Covid-19, nous allons assister à l’émergence de concepts de ce style, mais nous allons passer d’un moment de conseils et de détente à quelque chose de virtuel où il n’y aura plus aucune notion de plaisir. Finalement, ça n’a plus rien à voir”, explique le Dr Isabelle Rousseaux, dermatologue esthétique et membre du bureau du syndicat national des dermatologues. Le confinement a montré que les hommes et les femmes étaient prêts à passer à l’ère digitale dans de nombreux domaines. Mais les modes de consommation restent bien différents d’un pays à l’autre, avec des spécificités propres à chacun.
Le confinement a beaucoup aidé, il faut dire. Si les professionnels du secteur n’ont pas eu le temps de faire émerger ce type de soins à distance, nombreux sont ceux qui ont commencé à proposer des diagnostics en ligne, que ce soit pour la peau, afin de permettre à chacun d’acheter des soins adaptés, ou pour les cheveux dans l’optique de réaliser une coloration à domicile. Des procédés qui devraient tôt ou tard se démocratiser.