
Vue de la ville de Bordeaux.
Les services du DRS algérien ont, à maintes reprises, démontré leur détermination à nuire au Maroc de quelque manière que ce soit. Les spécialistes de la propagande du DRS n’ont rien trouvé de plus ingénieux que d’envahir le Département de l’Aquitaine par des centaines d’Algériens venus clandestinement en France, sous la couverture de Sahraouis fuyant les provinces marocaines du Sud et demandant le droit d’asile en France.
Ces prétendus Marocains fuyant les provinces du Sud sont, effectivement des Sahraouis, mais Algériens de la région de Tindouf. Sachant les conditions dans lesquelles vivent les Sahraouis des camps de Tindouf et les difficultés qu’ils ont à les quitter, on peut affirmer, sans doute aucun que le département des services de renseignements algérien est à l’origine de cette invasion du département français de l’Aquitaine en vue de ternir l’image du Maroc à travers de faux messages que les prétendus Marocains sont chargés de propager, d’une part. D’autre part, les faux demandeurs d’asile sont là pour constituer des cellules terroristes dormantes prêtes à agir au moindre signe du DRS.
Mais les services de sécurité français sont sur le qui-vive depuis les derniers attentats qui ont secoué ce pays ciblé par des organisations terroristes dont la nébuleuse d’AQMI, entre autres. Ils ont aussitôt fait de démanteler les camps de fortune dressés par les 390 Algériens débarqués en Aquitaine et répartis entre la capitale du département et ses environs. Par ailleurs, les services de sécurité français qui sont au courant de la situation des Sahraouis des camps de Tindouf que ces derniers ne peuvent quitter sans la bénédiction de la sécurité algérienne, ont compris qu’il s’agissait d’une opération de débarquement orchestrée par ce service.
Sournois, les responsables des services de sécurité algériens ont voulu régler plusieurs problèmes. D’abord, débarrasser l’Algérie d’un bon nombre de jeunes gens qui grossissent les effectifs de ses chômeurs, d’un côté, et de l’autre, ternir l’image du Maroc en l’accusant de pousser ses citoyens à demander l’asile en France pour fuir les mauvais traitements qu’il leur infligerait et enfin avoir un contingent prêt à agir pour exécuter toute opération terroriste en France ou ailleurs en Europe et partant en accuser le Maroc.
Ces prétendus Marocains fuyant les provinces du Sud sont, effectivement des Sahraouis, mais Algériens de la région de Tindouf. Sachant les conditions dans lesquelles vivent les Sahraouis des camps de Tindouf et les difficultés qu’ils ont à les quitter, on peut affirmer, sans doute aucun que le département des services de renseignements algérien est à l’origine de cette invasion du département français de l’Aquitaine en vue de ternir l’image du Maroc à travers de faux messages que les prétendus Marocains sont chargés de propager, d’une part. D’autre part, les faux demandeurs d’asile sont là pour constituer des cellules terroristes dormantes prêtes à agir au moindre signe du DRS.
Mais les services de sécurité français sont sur le qui-vive depuis les derniers attentats qui ont secoué ce pays ciblé par des organisations terroristes dont la nébuleuse d’AQMI, entre autres. Ils ont aussitôt fait de démanteler les camps de fortune dressés par les 390 Algériens débarqués en Aquitaine et répartis entre la capitale du département et ses environs. Par ailleurs, les services de sécurité français qui sont au courant de la situation des Sahraouis des camps de Tindouf que ces derniers ne peuvent quitter sans la bénédiction de la sécurité algérienne, ont compris qu’il s’agissait d’une opération de débarquement orchestrée par ce service.
Sournois, les responsables des services de sécurité algériens ont voulu régler plusieurs problèmes. D’abord, débarrasser l’Algérie d’un bon nombre de jeunes gens qui grossissent les effectifs de ses chômeurs, d’un côté, et de l’autre, ternir l’image du Maroc en l’accusant de pousser ses citoyens à demander l’asile en France pour fuir les mauvais traitements qu’il leur infligerait et enfin avoir un contingent prêt à agir pour exécuter toute opération terroriste en France ou ailleurs en Europe et partant en accuser le Maroc.