Autres articles
-
Avec un gâteau de 121 mètres, la France récupère le record du plus grand fraisier du monde
-
Une ONG américaine recommande d'interdire les compagnons IA aux mineurs
-
Un teckel retrouvé après une fugue de 529 jours en Australie
-
Des pistes intéressantes contre la résistance aux antibiotiques
-
Plus de deux milliards de personnes risquent de basculer dans la pauvreté

Début 2013, on apprenait via une interview de Jessica Alba sur Net-à-porter que la star avait eu recours à une pratique hard pour perdre ses kilos de grossesse : elle portait un double corset (plus efficace qu’un simple ?) “jour et nuit” pendant 3 mois.
Si la femme s’est débarrassée du corset au début du XXe siècle, il y avait une raison : c’était douloureux, cela abîmait le corps, la peau, les côtes, c’était, en gros, un instrument de torture uniquement dévolu à mettre en appétit les hommes sur le corps de la femme. Les guêpières sexy, c’est rigolo, le corset tous les jours, c’est moins cool.
Après cet aveu de Jessica Alba, on l’a regardée un peu différemment. Quelques mois plus tard, on comprend qu’une petite tendance est née aux Etats-Unis. Des articles sont consacrés au “régime corset”, des spécialistes en parlent sur des plateaux tv, des sites Internet ventent les mérites de la pratique. Comme ICI, où le corset est présenté avec bas et porte-jaretelles. On sort clairement du simple “régime”.
Les spécialistes interrogés sur la pratique sont d’ailleurs des chirurgiens esthétiques comme Alexander Sinclair. Celui-ci explique qu’il “redessine beaucoup de silhouettes” par cette technique. Les “patients” commencent par le porter 2 heures par jour avant d’aller jusqu’à 12 heures.
D’autres spécialistes rappellent que le corset, en plus d’abîmer la peau, peut déplacer et endommager des organes