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C'est une étude britannique qui le dit : en 2040, 319 millions de personnes dans le monde risqueront de subir une fracture. Une estimation deux fois plus importante par rapport à la moyenne actuelle.
Pour en arriver à cette conclusion, des chercheurs de l'université de Southampton et de la Sheffield Medical School (Grande-Bretagne) ont utilisé un algorithme médical complexe, baptisé FRAX . Cet outil high-tech constitue en réalité un « super calculateur de risque » médical, qui prend en compte de multiples variables pour énoncer ensuite des statistiques.
Ainsi, les chercheurs ont appris que les personnes les plus à risque étaient les femmes, âgées de 50 ans et plus : en 2010, 137 millions de femmes avaient subi une fracture, contre « seulement » 50 millions d'hommes. Les zones à surveiller en priorité sont au nombre de 3 : la hanche (et le bassin), le dos (au niveau des vertèbres) et les avant-bras (l'humérus et le poignet , tout particulièrement).
D'après FRAX, au cours des prochaines décennies, le risque de fracture va augmenter, jusqu'à atteindre 319 millions de personnes concernées en 2040. Les pays les plus touchés par cette « épidémie » seront, selon les prévisions, ceux d'Asie, puis ceux d'Afrique et enfin ceux d'Amérique du Sud.
« Nous pensons que cette situation aura deux causes principales : le vieillissement global de la population mondiale et l'augmentation de l' obésité » explique le Pr John Kanis, principal auteur de ces travaux publiés dans la revue scientifique Osteoporosis International.
Pour en arriver à cette conclusion, des chercheurs de l'université de Southampton et de la Sheffield Medical School (Grande-Bretagne) ont utilisé un algorithme médical complexe, baptisé FRAX . Cet outil high-tech constitue en réalité un « super calculateur de risque » médical, qui prend en compte de multiples variables pour énoncer ensuite des statistiques.
Ainsi, les chercheurs ont appris que les personnes les plus à risque étaient les femmes, âgées de 50 ans et plus : en 2010, 137 millions de femmes avaient subi une fracture, contre « seulement » 50 millions d'hommes. Les zones à surveiller en priorité sont au nombre de 3 : la hanche (et le bassin), le dos (au niveau des vertèbres) et les avant-bras (l'humérus et le poignet , tout particulièrement).
D'après FRAX, au cours des prochaines décennies, le risque de fracture va augmenter, jusqu'à atteindre 319 millions de personnes concernées en 2040. Les pays les plus touchés par cette « épidémie » seront, selon les prévisions, ceux d'Asie, puis ceux d'Afrique et enfin ceux d'Amérique du Sud.
« Nous pensons que cette situation aura deux causes principales : le vieillissement global de la population mondiale et l'augmentation de l' obésité » explique le Pr John Kanis, principal auteur de ces travaux publiés dans la revue scientifique Osteoporosis International.