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Une nouvelle étude affirme que les risques de maladies cardiovasculaires et de cancers sont plus élevés lorsque l’on consomme des charcuteries ou viandes transformées...
Manger des saucisses tue. Si l’on en croit une étude parue dans la revue BMC Medicine, les gros consommateurs de viandes et charcuteries industrielles auraient 44% de risques de plus que les autres de mourir prématurément. La consommation de saucisses, jambons, bacon, hamburgers et autres boulettes augmenterait le risque de mourir d’une maladie cardiovasculaire de 72% et de développer un cancer de 11%.
L’étude, réalisée sur 448.568 personnes durant douze ans dans dix pays européens, révèle que 3% des décès prématurés dans le panel auraient pu être évités en réduisant la consommation de ces viandes transformées à moins de 20 g par jour. A l’inverse, les risques de morts prématurées s’accentuent au-delà de 160 g de bidoche par jour.
Toutefois, les chercheurs n’ont pas d’explication claire au lien entre charcuterie et maladies: bien sûr, ces aliments gras et salés sont connus pour ne pas être les meilleurs amis de nos artères, mais les arômes, conservateurs et autres substances ajoutées aux produits industriels pourraient également favoriser l’apparition de cancers. D’autre part, la consommation de ces produits tout préparés est souvent révélatrice d’un mode de vie et d’un niveau de revenus qui peuvent jouer en défaveur de la santé. La consommation de tabac et d’alcool pourrait aussi perturber les résultats.
Manger des saucisses tue. Si l’on en croit une étude parue dans la revue BMC Medicine, les gros consommateurs de viandes et charcuteries industrielles auraient 44% de risques de plus que les autres de mourir prématurément. La consommation de saucisses, jambons, bacon, hamburgers et autres boulettes augmenterait le risque de mourir d’une maladie cardiovasculaire de 72% et de développer un cancer de 11%.
L’étude, réalisée sur 448.568 personnes durant douze ans dans dix pays européens, révèle que 3% des décès prématurés dans le panel auraient pu être évités en réduisant la consommation de ces viandes transformées à moins de 20 g par jour. A l’inverse, les risques de morts prématurées s’accentuent au-delà de 160 g de bidoche par jour.
Toutefois, les chercheurs n’ont pas d’explication claire au lien entre charcuterie et maladies: bien sûr, ces aliments gras et salés sont connus pour ne pas être les meilleurs amis de nos artères, mais les arômes, conservateurs et autres substances ajoutées aux produits industriels pourraient également favoriser l’apparition de cancers. D’autre part, la consommation de ces produits tout préparés est souvent révélatrice d’un mode de vie et d’un niveau de revenus qui peuvent jouer en défaveur de la santé. La consommation de tabac et d’alcool pourrait aussi perturber les résultats.