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20% des reptiles pourraient être amenés à disparaître d'ici 2080 à cause du réchauffement climatique, selon une recherche internationale parue dans la revue américaine Science.
La disparition d'une si grande partie des reptiles aurait des conséquences désastreuses. En effet, ces animaux sont au coeur de la chaîne alimentaire : proies pour les oiseaux ou les serpents, et prédateurs pour les insectes. C'est donc toute une branche de l'écosystème qui est en jeu.
Ces conclusions sont issues de l'observation de l'évolution des populations de lézards dans différentes régions du monde selon la sévérité du réchauffement climatique depuis 1975. Les scientifiques ont, à partir des observations, élaboré un modèle d'anticipation. Les lézards sont des animaux ayant besoin de soleil pour se réchauffer, cependant des températures trop hautes les inciteraient à rester à l'ombre, là où il y a moins de nourriture, d'où la diminution de leur nombre.
Cette étude diffère des autres qui, le plus souvent, analysent la disparition d'espèces par rapport à la diminution de leur habitat, et non pas par rapport à l'évolution des températures. Pour ne pas voir ces sombres prévisions se réaliser, la seule solution est, une fois encore, de limiter les émissions de CO2.
La disparition d'une si grande partie des reptiles aurait des conséquences désastreuses. En effet, ces animaux sont au coeur de la chaîne alimentaire : proies pour les oiseaux ou les serpents, et prédateurs pour les insectes. C'est donc toute une branche de l'écosystème qui est en jeu.
Ces conclusions sont issues de l'observation de l'évolution des populations de lézards dans différentes régions du monde selon la sévérité du réchauffement climatique depuis 1975. Les scientifiques ont, à partir des observations, élaboré un modèle d'anticipation. Les lézards sont des animaux ayant besoin de soleil pour se réchauffer, cependant des températures trop hautes les inciteraient à rester à l'ombre, là où il y a moins de nourriture, d'où la diminution de leur nombre.
Cette étude diffère des autres qui, le plus souvent, analysent la disparition d'espèces par rapport à la diminution de leur habitat, et non pas par rapport à l'évolution des températures. Pour ne pas voir ces sombres prévisions se réaliser, la seule solution est, une fois encore, de limiter les émissions de CO2.