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Le foot, c'est stressant à regarder. Voilà la conclusion d'une étude de chercheurs de l'Université d'Oxford, qui ont analysé les niveaux de cortisol (l'hormone du stress) dans la salive de centaines de fans de football brésiliens pendant la Coupe du Monde de 2014.
«Les fans qui sont le plus liés à leur équipe, c'est-à-dire qui ont l'impression de ne faire qu'un avec leur équipe, ont le stress le plus intense quand ils regardent un match. Les fans qui regardent de manière plus occasionnelle sont également stressés, mais c'est moins extrême», a indiqué le professeur Martha Newson, en charge de l'étude, qui considère qu'un stress aussi intense que celui constaté est dangereux pour les amateurs de sport concernés.
«C'est très intéressant parce qu'il n'y a aucune différence de niveau de cortisol entre les hommes et les femmes. Malgré les idées préconçues selon lesquelles les hommes sont plus liés à leur équipe, nous nous sommes aperçus que les femmes étaient en fait un peu plus liées à leur équipe nationale que les hommes», a-t-elle ajouté.
Les résultats complets de l'étude ont été publiés dans la revue Stress and Health.
«Les fans qui sont le plus liés à leur équipe, c'est-à-dire qui ont l'impression de ne faire qu'un avec leur équipe, ont le stress le plus intense quand ils regardent un match. Les fans qui regardent de manière plus occasionnelle sont également stressés, mais c'est moins extrême», a indiqué le professeur Martha Newson, en charge de l'étude, qui considère qu'un stress aussi intense que celui constaté est dangereux pour les amateurs de sport concernés.
«C'est très intéressant parce qu'il n'y a aucune différence de niveau de cortisol entre les hommes et les femmes. Malgré les idées préconçues selon lesquelles les hommes sont plus liés à leur équipe, nous nous sommes aperçus que les femmes étaient en fait un peu plus liées à leur équipe nationale que les hommes», a-t-elle ajouté.
Les résultats complets de l'étude ont été publiés dans la revue Stress and Health.