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Une équipe de chercheurs britanniques et finlandais a étudié le cas de 872 personnes ayant répondu à des enquêtes sur le vieillissement. Les scientifiques ont comparé l'état de santé et les troubles mentaux des patients avec leur niveau d'études, et leurs résultats sont formels : plus longues sont nos études, et plus nous sommes aptes à gérer, sur le plan clinique, les lésions cérébrales inhérentes au vieillissement. La profession jouerait un rôle moindre, puisque tout se baserait sur le développement des neurones avant 25 ans. Un long apprentissage scolaire permettrait ainsi d'améliorer le nombre et la taille des synapses cérébrales et des neurones.
Dans le cas d'alzheimer, ce développement important dans le jeune âge retarderait l'apparition de la maladie de 7 à 10 ans. Et les individus n'ayant pas fait d'études supérieures seraient deux fois plus sujets à développer la maladie que les étudiants au long cours.