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D'après les chercheurs de l'université d'Oxford, le bourdonnement des abeilles ferait fuir les éléphants qui pousseraient alors un barrissement particulier afin d'alerter leurs congénères.
L'étude, menée au Kenya, a consisté à faire écouter aux pachydermes des enregistrements du bourdonnement d'abeilles en colère. Les chercheurs ont alors constaté que ces bruits effrayaient les éléphants. Les pachydermes se mettaient alors à l'abri, en émettant un signal d'alarme pour avertir le reste de leur troupe. Les éléphants redouteraient les piqûres d'abeilles au niveau des yeux et à l'intérieur de la trompe. Les éléphanteaux, qui possèdent une peau plus fine que leurs aînés, risqueraient pour leur part de mourir suite à de multiples piqûres. "Ces grondements donnent des indices particulièrement intrigants : les éléphants peuvent peut-être produire des sons à l'image des humains, qui composent différentes voyelles en modifiant la position de leur langue et de leurs lèvres", a souligné Joseph Soltis, du parc animalier Disney's Animal Kingdom situé en Floride. L'étude a été publiée le 23 avril dans la revue scientifique en ligne PloS One.
L'étude, menée au Kenya, a consisté à faire écouter aux pachydermes des enregistrements du bourdonnement d'abeilles en colère. Les chercheurs ont alors constaté que ces bruits effrayaient les éléphants. Les pachydermes se mettaient alors à l'abri, en émettant un signal d'alarme pour avertir le reste de leur troupe. Les éléphants redouteraient les piqûres d'abeilles au niveau des yeux et à l'intérieur de la trompe. Les éléphanteaux, qui possèdent une peau plus fine que leurs aînés, risqueraient pour leur part de mourir suite à de multiples piqûres. "Ces grondements donnent des indices particulièrement intrigants : les éléphants peuvent peut-être produire des sons à l'image des humains, qui composent différentes voyelles en modifiant la position de leur langue et de leurs lèvres", a souligné Joseph Soltis, du parc animalier Disney's Animal Kingdom situé en Floride. L'étude a été publiée le 23 avril dans la revue scientifique en ligne PloS One.