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Le Code de procédure pénale passé au crible
A cet égard, la députée parlementaire Atika Jebrou a mis en avant que le Groupe d’opposition usfpéiste a toujours été solidaire avec les femmes violentées, en déplorant l’absence de protection active contre ce phénomène qui ne fait que s’exaspérer, « les femmes étant toujours victimes de multiples formes de violence » et en ajoutant que la posture de vulnérabilité vécue par les femmes constitue un obstacle réel contre l’expression et la dénonciation des violences subies. « Quelles que soient les lois, il est nécessaire d’entreprendre une large sensibilisation au sein de la société quant au rejet effectif du phénomène de la violence, qu’il soit verbal, moral ou matériel car face à la prolifération de la violence, nous ne pressentons pas qu’il sera totalement éradiqué », a-t-elle martelé.
La députée, membre du Groupe socialiste-Opposition ittihadie à la Chambre des représentants, a réitéré que la formation parlementaire usfpéiste est, en tout état de cause, totalement proactive avec la célébration de la Journée mondiale de lutte contre ledit phénomène qui s’inscrit au milieu de sa position intransigeante en matière de lutte constante contre toutes les formes de violence soulignant que « la lutte contre les violences à l’encontre des femmes commence à trouver écho au sein de la société mais demeure insuffisante car nous avons besoin d’une loi autonome et exclusive car la loi n° 103-13 actuellement en vigueur, se limite seulement à la répression et n’aborde pas la protection et la prévention, condition sine qua non car la femme victime de violence ayant quitté le domicile conjugal ne trouve pas où s’abriter avec ses enfants.
Par conséquent, cette loi est seulement répressive, or cette répression se révèle insuffisante en matière d’éradication de ce phénomène », a développé la parlementaire Atika Jebrou.
Rachid Meftah