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D'après une récente étude du Centre national des statistiques de santé américain, les personnes souffrant de dépression sont deux fois plus susceptibles de fumer que les non-dépressifs.
L'étude montrerait ainsi dans ses résultats que 43% des adultes de plus de 20 ans étant dépressifs fument, alors que ce chiffre redescend à 22% pour les individus ne souffrant pas de dépression. L'écart entre fumeur dépressif, et fumeur non-dépressif serait d'autant plus marqué si l'on prend en compte les hommes âgés de 40 à 54 ans, et les femmes âgées de 20 à 39 ans, explique l'AFP.
Cette propension à fumer ne dépendrait pas du degré de dépression puisque même les dépressifs dits "légers" seraient plus enclins à fumer que les non-dépressifs. De plus, l'étude montrerait que les dépressifs seraient 51% à allumer une cigarette dès le réveil, une habitude que l'on retrouve bien moins chez les non-dépressifs qui seraient d'ailleurs davantage capables d'arrêter de fumer. De plus, la dépression aurait également tendance à pousser les fumeurs à fumer plus que les non-fumeurs. Et l'Agence France Presse de préciser que l'étude a été menée aux États-Unis, où 7% de la population adulte serait dépressive et où 21% fumeraient.
L'étude montrerait ainsi dans ses résultats que 43% des adultes de plus de 20 ans étant dépressifs fument, alors que ce chiffre redescend à 22% pour les individus ne souffrant pas de dépression. L'écart entre fumeur dépressif, et fumeur non-dépressif serait d'autant plus marqué si l'on prend en compte les hommes âgés de 40 à 54 ans, et les femmes âgées de 20 à 39 ans, explique l'AFP.
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