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Le rappeur et mari de Beyoncé s’est confié sur ses années sombres dans les colonnes du Vanity Fair américain. Richissime star du rap aujourd’hui, Jay Z est pourtant parti de loin, très loin. C’est en tout cas ce qu’il révèle dans l’interview qu’il a récemment accordée au magazine. Ainsi, il revient sur son enfance modeste, sans détour : 'Nous étions dans une situation difficile, mais ma mère arrivait à s'en sortir, elle parvenait à être sur tous les fronts. Parfois on payait les petites factures, parfois on payait le téléphone, parfois on nous coupait le gaz. Mais on ne mourait pas de faim, on avait à manger sur la table. Mais c'était plutôt à l'école qu'on était gênés, on ne voulait pas aller en cours avec des baskets sales ou porter les mêmes vêtements encore et encore.'
Pour s’en sortir, Jay Z ne cache pas qu’il a vendu de la drogue dans les rues de Brooklyn, sans pour autant en consommer : 'Il n'y avait pas un endroit où le crack n'était pas là. Vous alliez dans le hall d'entrée, il y avait des toxicos qui traînaient. Dans la rue aussi, il y avait des ampoules de crack partout par terre. Et cette odeur putride se faisait sentir dans tous les coins. Quand j'y pense, elle me revient très facilement (…) Je pensais uniquement à ma survie, je pensais juste à améliorer ma situation, j'avais juste envie de m'acheter des fringues'.
Cette interview, c’est surtout l’occasion pour le rappeur d’évoquer sa plus grande fierté, à savoir sa fille Blue Ivy, qui est également sa plus grande fan : 'Quand mon album est sorti, on l'a mis à la maison, ce que je ne fais pas d'habitude. Mais Blue a adoré toutes les chansons. À chaque fois qu'elle en met une, à la fin elle dit 'encore papa, encore'. C'est ma plus grande fan. Si mon album ne s'était pas vendu, le fait qu'elle l'adore à ce point me procure la plus grande joie. Et ce n'est pas cliché, je suis vraiment sérieux'.
Pour s’en sortir, Jay Z ne cache pas qu’il a vendu de la drogue dans les rues de Brooklyn, sans pour autant en consommer : 'Il n'y avait pas un endroit où le crack n'était pas là. Vous alliez dans le hall d'entrée, il y avait des toxicos qui traînaient. Dans la rue aussi, il y avait des ampoules de crack partout par terre. Et cette odeur putride se faisait sentir dans tous les coins. Quand j'y pense, elle me revient très facilement (…) Je pensais uniquement à ma survie, je pensais juste à améliorer ma situation, j'avais juste envie de m'acheter des fringues'.
Cette interview, c’est surtout l’occasion pour le rappeur d’évoquer sa plus grande fierté, à savoir sa fille Blue Ivy, qui est également sa plus grande fan : 'Quand mon album est sorti, on l'a mis à la maison, ce que je ne fais pas d'habitude. Mais Blue a adoré toutes les chansons. À chaque fois qu'elle en met une, à la fin elle dit 'encore papa, encore'. C'est ma plus grande fan. Si mon album ne s'était pas vendu, le fait qu'elle l'adore à ce point me procure la plus grande joie. Et ce n'est pas cliché, je suis vraiment sérieux'.