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Pour arriver à la fameuse conclusion, les chercheurs ont étudié deux groupes de chats. Le premier était composé des maîtres recevant de l’aide d’une personne extérieure. Le second était formé des maîtres accompagnés de cette même aide extérieure sans pour autant être aidés. Dans les deux cas, une troisième personne, “neutre”, surveillait et n’intervenait pas. Les félins regardaient leur propriétaire essayant d’ouvrir un bocal pour leur donner à manger. Le but était de savoir vers qui les chats allaient se tourner pour se nourrir. Les chercheurs ont rapidement compris que les chats étaient totalement indifférents quant à la personne qui leur avait donné leur repas. Ainsi, contrairement aux chiens, ils ne seraient pas gênés à l’idée d’avoir de la nourriture de la part d’une personne autre que leur maître.
Ils seraient insensibles aux interactions sociales humaines. “Il est possible que dans cette étude les chats ne comprennent pas le sens ou ce que s’apprête à faire leur propriétaire”, ontils expliqué.