Autres articles
-
Un teckel retrouvé après une fugue de 529 jours en Australie
-
Des pistes intéressantes contre la résistance aux antibiotiques
-
Plus de deux milliards de personnes risquent de basculer dans la pauvreté
-
La Chine annonce que sa capacité en énergie éolienne et solaire dépasse pour la première fois le thermique
-
Aux Pays-Bas, l'épineux problème des pesticides sur les fleurs
On pense qu’ils sont attachés à nous, fidèles mais selon un groupe de chercheurs de l’université de Kyoto, il n’en est rien. En faisant appel à 36 chats domestiques, dont 23 venaient de bars à chats et 13 de foyers, ils se sont vite rendu compte que nos boules de poils préférées n’étaient pas si attachées que ça à nous. Un comportement qui s’expliquerait totalement selon les chercheurs.
Pour arriver à la fameuse conclusion, les chercheurs ont étudié deux groupes de chats. Le premier était composé des maîtres recevant de l’aide d’une personne extérieure. Le second était formé des maîtres accompagnés de cette même aide extérieure sans pour autant être aidés. Dans les deux cas, une troisième personne, “neutre”, surveillait et n’intervenait pas. Les félins regardaient leur propriétaire essayant d’ouvrir un bocal pour leur donner à manger. Le but était de savoir vers qui les chats allaient se tourner pour se nourrir. Les chercheurs ont rapidement compris que les chats étaient totalement indifférents quant à la personne qui leur avait donné leur repas. Ainsi, contrairement aux chiens, ils ne seraient pas gênés à l’idée d’avoir de la nourriture de la part d’une personne autre que leur maître.
Ils seraient insensibles aux interactions sociales humaines. “Il est possible que dans cette étude les chats ne comprennent pas le sens ou ce que s’apprête à faire leur propriétaire”, ontils expliqué.
Pour arriver à la fameuse conclusion, les chercheurs ont étudié deux groupes de chats. Le premier était composé des maîtres recevant de l’aide d’une personne extérieure. Le second était formé des maîtres accompagnés de cette même aide extérieure sans pour autant être aidés. Dans les deux cas, une troisième personne, “neutre”, surveillait et n’intervenait pas. Les félins regardaient leur propriétaire essayant d’ouvrir un bocal pour leur donner à manger. Le but était de savoir vers qui les chats allaient se tourner pour se nourrir. Les chercheurs ont rapidement compris que les chats étaient totalement indifférents quant à la personne qui leur avait donné leur repas. Ainsi, contrairement aux chiens, ils ne seraient pas gênés à l’idée d’avoir de la nourriture de la part d’une personne autre que leur maître.
Ils seraient insensibles aux interactions sociales humaines. “Il est possible que dans cette étude les chats ne comprennent pas le sens ou ce que s’apprête à faire leur propriétaire”, ontils expliqué.