-
Les chiens du président Milei objets de blagues
-
Un changement social expliquerait la chute de la diversité génétique masculine au Néolithique
-
Les vaccins ont sauvé au moins 154 millions de vies humaines en 50 ans
-
En Guadeloupe, l'aménagement du littoral à l'épreuve d'une érosion déjà très présente
-
Les manchots empereurs périssent avec la fonte record de la banquise
“Même si les plus jeunes demeurent les plus actifs sur ces réseaux, la plus forte progression est observée chez les 65 ans et plus, alors que le taux d’utilisation passe de 38,6% en 2011 à 53,4% en 2012”, a indiqué l’organisme spécialisé Cefrio (Centre facilitant la recherche et l’innovation dans les organisations à l’aide des technologies de l’information et de la communication).
En 2012 au Québec, près de 8 internautes sur 10 (78,1%) utilisent les médias sociaux.
Pour la première fois cette année, une hausse importante de l’utilisation se produit non pas chez les 18-35 ans, mais chez les 35 ans et plus, ajoute le Cefrio, dont les quelque 150 membres, universitaires, industriels et fonctionnaires, et 74 chercheurs associés et invités, se proposent de “faire du Québec une société numérique”.
Selon Claire Bourget, directrice de recherche marketing au Cefrio, deux tiers des internautes, soit 67,4%, consultent des avis ou recommandations sur Internet avant un achat, et ce, qu’il soit réalisé en ligne ou non.
Près d’un adulte québécois sur deux utilise YouTube ou Facebook et un adulte sur cinq est adepte de Google. Un peu moins d’un adulte sur dix utilise Twitter (8,3%, soit 10,1% des internautes) ou LinkedIn (7,9%, soit 9,6% des internautes).
Enfin, Facebook et YouTube sont des médias sociaux très “jeunes” dont l’utilisation décroît clairement avec l’âge, tandis que Google et LinkedIn attirent un public plus adulte (25-54 ans).