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Si le sport participe à l’amélioration de la vie quotidienne, c’est d’autant plus vrai pour les personnes en situation de handicap. Dans son rapport Les activités physiques et sportives, la santé, la société rendu public le 30 octobre, l’Académie française de médecine souligne les bénéfices que chacun peut retirer d’une pratique sportive « régulière, raisonnée, raisonnable ».
Le succès grandissant des Jeux paralympiques démontre à chaque occasion davantage, à quel point les activités physiques sont ouvertes à tous. Et par définition, même aux pratiquants en situation de handicap, quelle qu’en soit la nature. Ainsi pour les rédacteurs du rapport, « les déficients intellectuels trouvent un facteur de mieux-être dans la participation aux activités physiques et sportives (APS). Ces dernières leur offrent en effet l’opportunité de dominer leur handicap ». Déjà en 2000, les auteurs d’une étude menée au sein de l’Université fédérale de Sao Paulo (Brésil) évoquaient le sport en situation de déficience mentale comme « une expérience sociale très positive ». Trente handicapés y avaient alors été évalués. La moitié d’entre eux avait commencé le basket-ball, tandis que la seconde s’était tournée vers la natation. Le choix de l’une ou l’autre discpline avait été fixé en fonction de l’importance et du type de handicap dont chacun était affecté. Parallèlement, tous ont participé à plusieurs types de tests : examen clinique, évaluation par un kinésithérapeute…
Après deux années de pratique, les athlètes se sont montrés plus vigoureux, avec un net recul des signes de dépression. Les deux groupes ont par ailleurs présenté une amélioration nette de leur rapport aux autres.
A la vue de ces résultats, les académiciens soulignent l’importance du sport dans « l’engagement à la participation à des activités quotidiennes, sociales, de loisirs ou domestiques. Mais aussi dans l’insertion professionnelle… »
Ils précisent néanmoins que « des études cliniques complémentaires sont nécessaires pour préciser les indications et adapter les programmes. Cela impose une triple collaboration : un spécialiste de la pathologie, un médecin du sport et le médecin référent ».
Le succès grandissant des Jeux paralympiques démontre à chaque occasion davantage, à quel point les activités physiques sont ouvertes à tous. Et par définition, même aux pratiquants en situation de handicap, quelle qu’en soit la nature. Ainsi pour les rédacteurs du rapport, « les déficients intellectuels trouvent un facteur de mieux-être dans la participation aux activités physiques et sportives (APS). Ces dernières leur offrent en effet l’opportunité de dominer leur handicap ». Déjà en 2000, les auteurs d’une étude menée au sein de l’Université fédérale de Sao Paulo (Brésil) évoquaient le sport en situation de déficience mentale comme « une expérience sociale très positive ». Trente handicapés y avaient alors été évalués. La moitié d’entre eux avait commencé le basket-ball, tandis que la seconde s’était tournée vers la natation. Le choix de l’une ou l’autre discpline avait été fixé en fonction de l’importance et du type de handicap dont chacun était affecté. Parallèlement, tous ont participé à plusieurs types de tests : examen clinique, évaluation par un kinésithérapeute…
Après deux années de pratique, les athlètes se sont montrés plus vigoureux, avec un net recul des signes de dépression. Les deux groupes ont par ailleurs présenté une amélioration nette de leur rapport aux autres.
A la vue de ces résultats, les académiciens soulignent l’importance du sport dans « l’engagement à la participation à des activités quotidiennes, sociales, de loisirs ou domestiques. Mais aussi dans l’insertion professionnelle… »
Ils précisent néanmoins que « des études cliniques complémentaires sont nécessaires pour préciser les indications et adapter les programmes. Cela impose une triple collaboration : un spécialiste de la pathologie, un médecin du sport et le médecin référent ».