-
En Normandie, la montée des eaux menace les vestiges du Débarquement
-
Amsterdam: Une place de parking sur le marché pour près d'un demi-million
-
Pas de hausse globale du risque de cancer pour les enfants nés sous PMA
-
La justice népalaise ordonne de limiter le nombre de permis pour l'ascension de l'Everest
-
Déforestation: Les outils financiers comme les crédits carbone ne tiennent pas leurs promesses
Une chose paraît acquise, le fait d’être actif physiquement permet d’avoir une meilleure estime de soi. Et c’est déjà une réelle victoire, même si elle est petite. Sans oublier que la dépression peut parfois conduire à l’isolement. Or bien souvent la pratique d’un sport permet de sortir de chez soi, de rencontrer du monde, et donc de favoriser la socialisation. Sans compter qu’il s’agit d’un excellent moyen de détourner son attention de ses propres problèmes...
Pour l’Organisation mondiale de la santé (OMS), « il a été démontré que l’exercice physique améliorait la santé mentale et les fonctions cognitives, qu’il jouait un rôle dans la prise en charge des troubles tels que la dépression et l’anxiété. Des modes de vie actifs fournissent souvent des occasions régulières de forger de nouvelles amitiés, de maintenir des réseaux sociaux et d’établir des relations avec d’autres personnes ».
De son côté, l’INPES insiste sur l’importance de pratiquer une activité physique avec modération. « L’augmentation excessive des durées ou des intensités de pratique n’a pas nécessairement d’effets sur les symptômes dépressifs. Au contraire, le « surentraînement » a un effet négatif et peut dégrader l’état dépressif ». Le niveau d’activité physique préconisé est tout de même de 5 séances hebdomadaires, d’intensité modérée et de 30 à 40 minutes chacune : un footing par exemple. « Une fois cette régularité mise en place, la réduction des symptômes peut être effective très rapidement ». Avant de vous lancer dans une activité, une consultation médicale s’avère toutefois nécessaire.