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Toutes les études le confirment, la pratique d’une activité physique est bénéfique pour les patients souffrant de dépression. A en croire certains travaux, les symptômes pourraient même être diminués de moitié. Selon l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES), « une ou plusieurs activités physiques aérobies (marche rapide, course à pied, vélo, natation…) contribuent à réduire les symptômes des dépressions légères à modérées et à prévenir leur réapparition ». Les mécanismes expliquant cette amélioration ne sont pas encore très clairs. Ils pourraient impliquer la libération d’endorphines.
Une chose paraît acquise, le fait d’être actif physiquement permet d’avoir une meilleure estime de soi. Et c’est déjà une réelle victoire, même si elle est petite. Sans oublier que la dépression peut parfois conduire à l’isolement. Or bien souvent la pratique d’un sport permet de sortir de chez soi, de rencontrer du monde, et donc de favoriser la socialisation. Sans compter qu’il s’agit d’un excellent moyen de détourner son attention de ses propres problèmes...
Pour l’Organisation mondiale de la santé (OMS), « il a été démontré que l’exercice physique améliorait la santé mentale et les fonctions cognitives, qu’il jouait un rôle dans la prise en charge des troubles tels que la dépression et l’anxiété. Des modes de vie actifs fournissent souvent des occasions régulières de forger de nouvelles amitiés, de maintenir des réseaux sociaux et d’établir des relations avec d’autres personnes ».
De son côté, l’INPES insiste sur l’importance de pratiquer une activité physique avec modération. « L’augmentation excessive des durées ou des intensités de pratique n’a pas nécessairement d’effets sur les symptômes dépressifs. Au contraire, le « surentraînement » a un effet négatif et peut dégrader l’état dépressif ». Le niveau d’activité physique préconisé est tout de même de 5 séances hebdomadaires, d’intensité modérée et de 30 à 40 minutes chacune : un footing par exemple. « Une fois cette régularité mise en place, la réduction des symptômes peut être effective très rapidement ». Avant de vous lancer dans une activité, une consultation médicale s’avère toutefois nécessaire.
Une chose paraît acquise, le fait d’être actif physiquement permet d’avoir une meilleure estime de soi. Et c’est déjà une réelle victoire, même si elle est petite. Sans oublier que la dépression peut parfois conduire à l’isolement. Or bien souvent la pratique d’un sport permet de sortir de chez soi, de rencontrer du monde, et donc de favoriser la socialisation. Sans compter qu’il s’agit d’un excellent moyen de détourner son attention de ses propres problèmes...
Pour l’Organisation mondiale de la santé (OMS), « il a été démontré que l’exercice physique améliorait la santé mentale et les fonctions cognitives, qu’il jouait un rôle dans la prise en charge des troubles tels que la dépression et l’anxiété. Des modes de vie actifs fournissent souvent des occasions régulières de forger de nouvelles amitiés, de maintenir des réseaux sociaux et d’établir des relations avec d’autres personnes ».
De son côté, l’INPES insiste sur l’importance de pratiquer une activité physique avec modération. « L’augmentation excessive des durées ou des intensités de pratique n’a pas nécessairement d’effets sur les symptômes dépressifs. Au contraire, le « surentraînement » a un effet négatif et peut dégrader l’état dépressif ». Le niveau d’activité physique préconisé est tout de même de 5 séances hebdomadaires, d’intensité modérée et de 30 à 40 minutes chacune : un footing par exemple. « Une fois cette régularité mise en place, la réduction des symptômes peut être effective très rapidement ». Avant de vous lancer dans une activité, une consultation médicale s’avère toutefois nécessaire.