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L'Organisation mondiale de la santé aurait volontairement surestimé le risque représenté par la grippe A en raison de collusion entre certains de ses membres et des laboratoires pharmaceutiques, écrit mardi Le Parisien.
Selon l'enquête du quotidien français, les "liens d'intérêts" entre six experts de l'OMS et des firmes pharmaceutiques "sont avérés".
"Même s'ils affirment leur indépendance, leurs relations avec les laboratoires entretiennent les soupçons sur l'impartialité de leurs décisions au sein de l'OMS", écrit le journal.
Le numéro deux de l'organisation, Keiji Fukuda, devait s'en expliquer lundi matin devant le Conseil de l'Europe.
Dans un entretien au Parisien, ce dernier repousse l'idée selon laquelle l'OMS aurait exagéré l'importance du virus, qui a fait près de 14.000 morts dans le monde.
"Cette accusation est fausse. Il s'agissait bien d'une pandémie", dit-il.
Interrogé à propos de l'impartialité des membres de l'OMS, il répond : "Si un expert nous a délibérément dissimulé ses collaborations extérieures, s'il nous a menti, il sera sanctionné".
Selon l'enquête du quotidien français, les "liens d'intérêts" entre six experts de l'OMS et des firmes pharmaceutiques "sont avérés".
"Même s'ils affirment leur indépendance, leurs relations avec les laboratoires entretiennent les soupçons sur l'impartialité de leurs décisions au sein de l'OMS", écrit le journal.
Le numéro deux de l'organisation, Keiji Fukuda, devait s'en expliquer lundi matin devant le Conseil de l'Europe.
Dans un entretien au Parisien, ce dernier repousse l'idée selon laquelle l'OMS aurait exagéré l'importance du virus, qui a fait près de 14.000 morts dans le monde.
"Cette accusation est fausse. Il s'agissait bien d'une pandémie", dit-il.
Interrogé à propos de l'impartialité des membres de l'OMS, il répond : "Si un expert nous a délibérément dissimulé ses collaborations extérieures, s'il nous a menti, il sera sanctionné".