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Selon une étude publiée par l'American Journal of Clinical Nutrition, les femmes âgées auraient tendance à voir le risque de fracture diminuer si elles ont mangé beaucoup de légumes et de fruits durant leur vie.
Connaissez-vous l'adage "une pomme par jour éloigne le médecin" ? Il pourrait se révéler juste si l'on en croit une récente étude américaine. Ainsi, cette dernière montre que chez les personnes âgées, le risque de fracture diminuerait largement si ces femmes avaient consommé beaucoup de pommes, de légumes et autres fruits durant leur vie. L'étude s'est portée sur plus de 3.500 femmes déjà ménopausées ainsi que plus de 1.600 hommes de plus de 50 ans.
Si les résultats de l'étude montrent une baisse des fractures chez les femmes ayant eu l'habitude de consommer des produits à haute densité nutritionnelle (fruits et légumes), Lise Langsetmo, auteur de l'étude, explique pourtant : "Des enquêtes précédentes ont démontré un lien entre les habitudes diététiques et le risque de problèmes de santé, mais on comprend mal la relation entre ces habitudes et la fragilité du squelette".
De prime abord, tout dépendrait de la teneur en minéraux et micronutriments en fonction de l'apport calorique de chaque aliment. Ainsi, augmenter de 40% la part des aliments à forte densité nutritionnelle permettrait de réduire de 14% le risque de fracture dans les dix années à venir, un constat qui reste le même, peu importe les apports en calcium ou vitamine D de chacun.
Connaissez-vous l'adage "une pomme par jour éloigne le médecin" ? Il pourrait se révéler juste si l'on en croit une récente étude américaine. Ainsi, cette dernière montre que chez les personnes âgées, le risque de fracture diminuerait largement si ces femmes avaient consommé beaucoup de pommes, de légumes et autres fruits durant leur vie. L'étude s'est portée sur plus de 3.500 femmes déjà ménopausées ainsi que plus de 1.600 hommes de plus de 50 ans.
Si les résultats de l'étude montrent une baisse des fractures chez les femmes ayant eu l'habitude de consommer des produits à haute densité nutritionnelle (fruits et légumes), Lise Langsetmo, auteur de l'étude, explique pourtant : "Des enquêtes précédentes ont démontré un lien entre les habitudes diététiques et le risque de problèmes de santé, mais on comprend mal la relation entre ces habitudes et la fragilité du squelette".
De prime abord, tout dépendrait de la teneur en minéraux et micronutriments en fonction de l'apport calorique de chaque aliment. Ainsi, augmenter de 40% la part des aliments à forte densité nutritionnelle permettrait de réduire de 14% le risque de fracture dans les dix années à venir, un constat qui reste le même, peu importe les apports en calcium ou vitamine D de chacun.