-
Le porte-parole de l'UE a mis un terme aux tentatives d’exploitation en réaffirmant que ni l’Union européenne, ni aucun de ses Etats membres ne reconnaissent la pseudo “rasd”
-
Ces MRE et expatriés qui posent leurs valises au Maroc
-
Dans l'élan des préparatifs du 12ème Congrès de l'USFP : Un débat politique riche en enseignements
-
Chômage, mépris et exil
Présentant le projet de loi devant la commission de l'enseignement, de la culture et de la communication à la Chambre des représentants, il a relevé que l'Académie fait partie des institutions qui occupent une place privilégiée sur la scène culturelle depuis sa création il y a plus de 40 ans. C'est une période riche en événements et transformations de portée intellectuelle, politique, économique, sociale, environnementale et institutionnelle à l'échelle nationale, continentale et environnementale. Cette institution a été et restera ouverte à toutes les contributions et apports scientifiques à la dynamique de renouvellement et de développement de sa performance et de son rôle au service du rayonnement culturel du Royaume, en toute harmonie avec les dispositions de la Constitution marocaine de 2011, a-t-il souligné.
Le texte est un reflet des changements survenus dans le Royaume durant les dernières années sur le registre de l'actualisation et la consolidation des textes juridiques pour accompagner le développement global du Maroc, tout en étant au diapason avec ses engagements internationaux dans tous les domaines, notamment en ce qui concerne la création et le développement des institutions nationales dont le rôle favorise le progrès intellectuel, scientifique et culturel.
Il prévoit, entre autres, la définition et l’extension de l’éventail des missions de l'Académie pour inclure notamment le développement de la recherche scientifique, la mobilisation des capacités intellectuelles et scientifiques nationales et internationales, ainsi que la promotion de la créativité sous ses diverses formes.