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Elles considèrent également que l’élargissement des prérogatives de la MINURSO constitue une ingérence dans les affaires intérieures du Maroc et une atteinte à sa souveraineté sur l’étendue du territoire national. Elles ont, par ailleurs, demandé l'opérationnalisation des dispositions constitutionnelles en vue de l’application de l’initiative de l’autonomie interne, unique plateforme permettant le regroupement de tous les Sahraouis.
A noter, aussi, qu'Aguaï Dahi, membre fondateur du Polisario ayant regagné la mère-partie après avoir subi dans sa chair les affres de la répression exercée au grand jour dans les geôles de Tindouf, a créé une association dont l'objectif de dénoncer les violations des droits de l'Homme par la direction de ce mouvement sécessionniste, tout en rappelant qu'il avait adressé dès 2008 des dossiers afférent à cela au Département d'Etat américain et à Human Right Watch. Il nous a également affirmé avoir saisi cette question les différents envoyés de l'ONU qui ont visité Laâyoune ainsi que le rapporteur onusien chargé de la torture et Kerry Kennedy. Il regrette néanmoins qu'ils n'en aient pas pris compte et qu'ils se soient contentés de colporter les thèses des ennemis de notre intégrité territoriale.
Pour lui, les raisons du revirement américain à propos de la question de notre intégrité territoriale tient au fait que "le nouveau secrétaire d'Etat dont les prises de positions sont contradictoires n'a jamais caché son soutien au Polisario alors qu'il n'était que parlementaire". "Poussé par Kerry Kennedy qui roule en faveur d'Alger, a-t-il ajouté, il a pris cette décision et, lui qui avait été favorable à la guerre du Mali pour, soi-disant, sanctionner ceux qui violent les droits de l'Homme, ferme les yeux sur les flagrantes violations de ces mêmes droits par le Polisario"