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"Le gouvernement qui peut sauver la situation dans le pays est un gouvernement de sauvetage national et de coalition nationale. Notre initiative va sûrement aller vers celle de Jebali", a-t-il déclaré à la chaîne tunisienne Al Moutawasat dans des propos repris par la radio Shems-FM.
"On est ouvert à tous afin d'arriver à composer un gouvernement de compétences nationales qui rejoint ce que demande Jebali, avec une représentation élargie", a encore déclaré M. Ghannouchi, insistant pour que le cabinet "représente aussi les forces politiques".
Des pourparlers sont en cours actuellement, dit-il, avec une demi-douzaine de formations politiques dont les alliés laïcs d'Ennahda, le Congrès pour la république du président Moncef Marzouki, et Ettakatol, le parti du président de la Constituante, Mustapha Ben Jaafar.
M. Jebali, lui-même membre d'Ennahda, souhaite former un cabinet de technocrates, sans représentants de partis politiques, pour sortir la Tunisie d'une grave crise politique, qui a été approfondie par l'assassinat de l'opposant Chokri Belaïd.