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D'après une étude réalisée par l'Organisation environnementale américaine Clean Air-Cool Planet, le niveau de la mer montera d'un mètre d'ici la fin du siècle, entraînant inondations et bouleversement de la configuration de certaines villes, notamment aux Etats-Unis.
Cette prévision est bien plus pessimiste que celle du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC). Dans une étude publiée en 2007, les experts du GIEC estimaient en effet que le niveau de la mer monterait de 18 à 59 centimètres d'ici 2100.
"Nous nous apprêtons à voir changer radicalement l'aspect des côtes", avertit Jim White, professeur à l'Université du Colorado à Boulder et coauteur de l'étude de Clean Air-Cool Planet. L'organisation environnementale qui s'est basée sur une étude concernant la fonte des glaces et réalisée par l'Université d'Utrecht aux Pays-Bas, prévoit des inondations qui bouleverseront radicalement la configuration des villes côtières, notamment sur la côte est des Etats-Unis, de Miami à Baltimore.
Cette étude tient compte de l'impact du nombre de plus en plus important d'icebergs qui se détachent des calottes glaciaires et fondent sur les mers. En 2007, le GIEC se basait essentiellement sur la dilatation naturelle des eaux lorsqu'elles se réchauffent, pour évaluer la hausse du niveau des mers.
Cette prévision est bien plus pessimiste que celle du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC). Dans une étude publiée en 2007, les experts du GIEC estimaient en effet que le niveau de la mer monterait de 18 à 59 centimètres d'ici 2100.
"Nous nous apprêtons à voir changer radicalement l'aspect des côtes", avertit Jim White, professeur à l'Université du Colorado à Boulder et coauteur de l'étude de Clean Air-Cool Planet. L'organisation environnementale qui s'est basée sur une étude concernant la fonte des glaces et réalisée par l'Université d'Utrecht aux Pays-Bas, prévoit des inondations qui bouleverseront radicalement la configuration des villes côtières, notamment sur la côte est des Etats-Unis, de Miami à Baltimore.
Cette étude tient compte de l'impact du nombre de plus en plus important d'icebergs qui se détachent des calottes glaciaires et fondent sur les mers. En 2007, le GIEC se basait essentiellement sur la dilatation naturelle des eaux lorsqu'elles se réchauffent, pour évaluer la hausse du niveau des mers.