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Jusqu'au 1er octobre, durant l'exposition "The Apex point" organisée à l'Université de Trondheim (Norvège), un chercheur présente sa nouvelle approche du mystère de la construction des pyramides égyptiennes. Pour lui, l'important est de s'attacher aux plans et non aux édifices eux-mêmes.
Les Égyptiens de l'Antiquité ont tout simplement inventé la "grille de construction" moderne (plan en 3D), séparant le système de mesure de la construction d'une part, de la structure physique réelle du bâtiment lui-même, d'autre part. C'est ainsi que ces bâtisseurs de génie ont pu ériger les fameuses pyramides, selon Ole J. Bryn, architecte et professeur agrégé à la faculté d'architecture et des beaux arts de l'Université NTNU (Norvège). Procéder ainsi leur aurait permis de manipuler la notion de "tolérance", bien connue des ingénieurs et architectes actuels : comparer la pièce réelle, fabriquée, à la pièce idéale dessinée.
Une conviction acquise par le chercheur en étudiant les plans d'une trentaine de pyramides, notamment la grande pyramide de Khéops à Gizeh, constituée de 2,3 millions de blocs de calcaire - pour un poids total de 7 millions de tonnes - érigés jusqu'à 146 mètres de hauteur. Contrairement aux archéologues, qui se sont demandé avant lui "comment les Égyptiens ont-ils pu déplacer si haut des blocs si lourds", il déclare s'être pour sa part posé les questions suivantes : "Comment les architectes ont-ils pu savoir où les placer ?" et "Comment ont-ils transmis leurs instructions à 10.000 travailleurs illettrés ?".
Les Égyptiens de l'Antiquité ont tout simplement inventé la "grille de construction" moderne (plan en 3D), séparant le système de mesure de la construction d'une part, de la structure physique réelle du bâtiment lui-même, d'autre part. C'est ainsi que ces bâtisseurs de génie ont pu ériger les fameuses pyramides, selon Ole J. Bryn, architecte et professeur agrégé à la faculté d'architecture et des beaux arts de l'Université NTNU (Norvège). Procéder ainsi leur aurait permis de manipuler la notion de "tolérance", bien connue des ingénieurs et architectes actuels : comparer la pièce réelle, fabriquée, à la pièce idéale dessinée.
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