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Entre soutien affirmé et phénomène viral, le monde du sport, qui comptait peu de représentants dans la campagne de Donald Trump, s'est emparé des pas de danse utilisés en meeting par le républicain âgé de 78 ans.
Acclamé samedi à New York par le Madison Square Garden lors de la soirée de l'UFC, dont il est un habitué, Donald Trump a eu la bonne surprise de voir la vedette des poids lourds du MMA Jon Jones célébrer sa victoire contre Stipe Miocic par la "danse Trump", avant de remercier au micro le président élu pour "sa présence", et d'être longuement félicité par le politicien.
Lundi, la star du "soccer" Christian Pulisic a célébré son premier but contre la Jamaïque (succès 4-2 des Etats-Unis) de la même façon, brièvement suivi par quelques coéquipiers.
La danse, devenue virale, a été empruntée ces derniers jours par des sportifs universitaires mais aussi sur plusieurs terrains de NFL.
Le joueur des San Francisco 49ers Nick Bosa - qui s'était attiré des critiques pour avoir surgi derrière un coéquipier en pleine interview télévisée avec une casquette "MAGA" ("Make America Great Again") - a été l'un des premiers à célébrer le 10 novembre une action réussie avec le désormais célèbre déhanché.
"Les gars voulaient que je le fasse (...) c'était marrant", avait-il expliqué au San Francisco Chronicle.
Brock Bowers, des Las Vegas Raiders, a lui célébré dimanche un touchdown avec la danse lors de la défaite des siens face aux Miami Dolphins.
"J'ai regardé les combats de l'UFC, j'ai vu Jon Jones le faire et j'ai trouvé ça cool", a-t-il expliqué.
La "danse Trump" a même pénétré les greens de golf professionnel, le sport favori et ardemment pratiqué par Donald Trump: la Britannique Charley Hull en a esquissé le mouvement en plaisantant lors de son duel face à l'Américaine Nelly Korda au tournoi LPGA ANNIKA à Belleair (Floride).