-
Le porte-parole de l'UE a mis un terme aux tentatives d’exploitation en réaffirmant que ni l’Union européenne, ni aucun de ses Etats membres ne reconnaissent la pseudo “rasd”
-
Ces MRE et expatriés qui posent leurs valises au Maroc
-
Dans l'élan des préparatifs du 12ème Congrès de l'USFP : Un débat politique riche en enseignements
-
Chômage, mépris et exil
C’est en fait plus qu’une rumeur colportée, mais surtout confirmée, par plus d’une source digne de foi.
A l’origine de cette décision dont tout Mohammedia parle, le fait que l’intéressé serait un mauvais payeur, ses dettes envers le Trésor auraient atteint des montants faramineux.
A rappeler que l’intéressé s’est retrouvé à la présidence de la commune de la ville des fleurs, alors qu’il ne disposait que d’une minorité, à peine trois sièges. Le Conseil constitutionnel avait auparavant annulé les résultats des élections législatives 2007 à Mohammedia après avoir été convaincu des nombreuses violations et irrégularités commises par le concerné.
Des élections législatives partielles étaient organisées, par la suite, en septembre 2008 dans certaines régions notamment à Mohammedia. Mais contre toute attente Mohamed Atouani, qui était parmi les 7 candidats à briguer un siège à Mohammedia, avait remporté ces élections partielles et retrouvé son statut de parlementaire.
Suite à cette décision, les indemnités qu’il s’apprête à percevoir pour le compte du mois en cours, devaient être « soulagées » de quelque 15 mille dirhams.
Une mesure qui devrait rester en vigueur jusqu’à éponger les sommes dues au fisc.
Le député de Mohammedia serait donc le deuxième parlementaire à subir ce genre de ponction après celui de Tifelt, Mahmoud Archane qui, lui aussi, avait «oublié », pendant des années, de s’acquitter de ses impôts.