Autres articles
-
L'Inde expérimente l'ensemencement des nuages à Delhi pour lutter contre la pollution
-
Face à la Grande Armée de Napoléon, les Russes et des maladies insoupçonnées
-
Dans les villages du Bangladesh, le retour de la grande peur des serpents
-
Santé cardiovasculaire : Les bienfaits des produits végétaux dépendent de leur niveau de transformation
-
Lien entre les investissements dans les soins de santé pédiatriques et la prospérité
Des dizaines de bébés, le visage déformé par les larmes, se sont affrontés récemment dans un rituel traditionnel japonais appelé "sumo en pleurs" censé apporter la bonne santé aux enfants et qui a fait son retour pour la première fois après quatre ans de pandémie.
Accompagnés par leurs parents, des bambins portant le traditionnel tablier de cérémonie des lutteurs sumo se sont confrontés sur le dohyo du temple Sensoji à Tokyo.
Mais ici, pas question de se bouter hors de l'arène. Le gagnant sera celui qui fondera en larmes le premier.
Pour les y encourager, des employés se baladent autour d'eux, portant des masques de démons "oni", espérant ainsi leur faire peur.
"Nous pouvons connaître l'état de santé d'un bébé en écoutant la façon dont il pleure", confie à l'AFP Hisae Watanabe, mère d'un bébé de huit mois. "Aujourd'hui, elle peut être nerveuse et ne pas beaucoup pleurer, mais je veux entendre ses pleurs sains".
Le "sumo des pleurs" est organisé dans les sanctuaires et les temples à travers tout le Japon, et attire bon nombre de spectateurs.
Shigemi Fuji, président de la Fédération du tourisme d'Asakusa - organisateur de l'événement - admet que certaines personnes pourraient penser qu'il est terrible de faire pleurer exprès des bébés.
"Mais au Japon, nous croyons que les bébés qui pleurent fort grandissent aussi en bonne santé", assure-t-il.
Soixante-quatre bébés au total ont participé au rituel, a fait savoir l'organisateur.
Les règles varient d'une région à l'autre: dans certains endroits, les parents espèrent que leur enfant soit le premier à pleurer, dans d'autres, le premier à pleurer est le perdant.
Accompagnés par leurs parents, des bambins portant le traditionnel tablier de cérémonie des lutteurs sumo se sont confrontés sur le dohyo du temple Sensoji à Tokyo.
Mais ici, pas question de se bouter hors de l'arène. Le gagnant sera celui qui fondera en larmes le premier.
Pour les y encourager, des employés se baladent autour d'eux, portant des masques de démons "oni", espérant ainsi leur faire peur.
"Nous pouvons connaître l'état de santé d'un bébé en écoutant la façon dont il pleure", confie à l'AFP Hisae Watanabe, mère d'un bébé de huit mois. "Aujourd'hui, elle peut être nerveuse et ne pas beaucoup pleurer, mais je veux entendre ses pleurs sains".
Le "sumo des pleurs" est organisé dans les sanctuaires et les temples à travers tout le Japon, et attire bon nombre de spectateurs.
Shigemi Fuji, président de la Fédération du tourisme d'Asakusa - organisateur de l'événement - admet que certaines personnes pourraient penser qu'il est terrible de faire pleurer exprès des bébés.
"Mais au Japon, nous croyons que les bébés qui pleurent fort grandissent aussi en bonne santé", assure-t-il.
Soixante-quatre bébés au total ont participé au rituel, a fait savoir l'organisateur.
Les règles varient d'une région à l'autre: dans certains endroits, les parents espèrent que leur enfant soit le premier à pleurer, dans d'autres, le premier à pleurer est le perdant.








L'Inde expérimente l'ensemencement des nuages à Delhi pour lutter contre la pollution