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L'égalité administrative requiert la vigilance du législateur et l'application des dispositions constitutionnelles
L'affaire du CIH ressemble à ces feuilletons télé dont les épisodes sont à la fois tellement nombreux et itératifs que l'on en arrive à en perdre le fil. Le dossier a maintenant près de huit ans d'âge. Les faits qui y sont décrits remontent à une quinzaine d'années environ et ils ont commencé par atterrir devant la Cour spéciale de justice avant que celle-ci ne disparaisse définitivement du paysage judiciaire national et n'en lègue l'héritage à la Cour d'Appel de Casablanca qui a pris le relais.
L'affaire ne manque pas de piquant : plusieurs dizaines de dossiers litigieux, des crédits non remboursés et, enfin, un imbroglio qui en cache tellement d'autres qu'il finit par ressembler à des poupées gigognes. Affaire complexe s'il en fut, l'affaire du CIH est également une affaire qui traine en longueur. Voire à rebondissements. L'audience qui s'est ouverte hier, après plusieurs reports n'en a néanmoins comporté aucun. Elle a cependant permis à tous les protagonistes de reprendre rendez-vous aujourd'hui en cours d'après-midi au même endroit.