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Chômage, mépris et exil
Il s’agit des journalistes Abdelilah Sakhir, Kaoutar Zaki, Abdelhak Belchguar et Mohammed Ahddad.
Le Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) a critiqué ce jugement dans un communiqué rendu public mercredi, le qualifiant d’« injuste à l’encontre de nos collègues et de la liberté de la presse dans notre pays ». Ceci d’autant plus que les informations qui ont été publiées par ces quatre journalistes n’étaient aucunement fausses.
Le SNPM a imputé la responsabilité de ce jugement au président de la Chambre des conseillers « qui a converti cette institution qu’il préside et dont le rôle est d’améliorer la législation concernant la liberté de la presse et d’opinion et la protection des journalistes, en une institution qui intimide les journalistes en les attaquant en justice ».
Jugé dans la même affaire, un député membre de la Confédération démocratique du travail (CDT), accusé d'avoir fourni à ces journalistes les informations sur ces débats, a été condamné à la même peine pour "violation du secret professionnel".
Il convient de rappeler que le SNPM avait fait des démarches auprès du président de la Chambre des conseillers pour le convaincre de retirer sa plainte, mais sans résultat.