-
Le porte-parole de l'UE a mis un terme aux tentatives d’exploitation en réaffirmant que ni l’Union européenne, ni aucun de ses Etats membres ne reconnaissent la pseudo “rasd”
-
Ces MRE et expatriés qui posent leurs valises au Maroc
-
Dans l'élan des préparatifs du 12ème Congrès de l'USFP : Un débat politique riche en enseignements
-
Chômage, mépris et exil
Dans son allocution d'ouverture, M. Bourita a affirmé que l'évolution du paysage de la sécurité internationale ne doit pas conduire à négliger la responsabilité partagée en matière de lutte contre le terrorisme.
Le ministre a, dans ce sens, mis en avant l’importance du "véritable multilatéralisme", en faisant part de la conviction du Maroc que de tel esprit et engagement est essentiel pour la prochaine décennie, notamment dans un contexte où la menace posée par les groupes terroristes demeure une priorité.
Présentant les progrès réalisés par le Forum sous la co-présidence maroco- canadienne, M. Bourita a souligné les efforts consentis (durant la première décennie -NDRL) afin de "maintenir la nature apolitique et consensuelle du Forum", désormais orienté vers le pragmatisme et l'action pour renforcer les efforts internationaux de lutte contre le terrorisme et l'extrémisme violent, a fait observer le ministre.
Lancé en 2011, le GCTF est une plateforme co-présidée par le Maroc depuis 2016. Il est composé de 30 membres (29 pays + l’Union européenne) et coopère étroitement avec de nombreuses organisations internationales, régionales et sous-régionales, dont l’ONU.
Sa structure s’articule autour de cinq groupes de travail portant sur la lutte contre l’extrémisme violent, les combattants terroristes étrangers, la justice pénale et l'Etat de droit, le renforcement des capacités en Afrique de l’Ouest et le renforcement des capacités en Afrique de l’Est. Ses activités réunissent régulièrement des décideurs et des experts dans les domaines de lutte contre le terrorisme.