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12 doctorants en finale du concours "Ma thèse en 180 secondes"
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Nabil El Jay : La représentativité des auteurs et des titulaires des droits voisins au CA du BMDAV est une pierre angulaire pour moderniser le secteur
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La richesse culturelle de la ville du Détroit mise en avant au 1er Festival des trois rives
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Une belle brochette d’humoristes marocains à l’affiche lors de la première soirée de Comediablanca
Le Théâtre national Mohammed V est archi-comble. Les spectateurs ont bravé le froid et cela valait la peine d'assister à ce temple de la danse. Ce n'est pas tous les jours que des spectacles de cette dimension sont donnés au Maroc et que des musiques de cette teneur et de cette beauté symphonique y sont interprétées. L'orchestre symphonique Royal du Maroc s'attèle à la tâche. Fort de ses nombreux musiciens, plus d'une soixantaine, qui sont dirigés d'une main de maître, le russe Oleg Reshetkin qui veille au grain, ils fusent par leurs notes au rythme des ballerines.
Il faut dire que le lyrisme des danseurs et leur fraîcheur sont bien servis par un accompagnement musical structuré imprégné d'une grande maîtrise et délicatesse et dont les forces se sont nourries de la poésie du spectacle.