Autres articles
-
SIAM. Le pôle élevage, un potentiel colossal qui force l'admiration
-
Ouverture du marché brésilien aux agrumes marocains
-
Meknès : le 16ème SIAM ouvre ses portes au grand public
-
Allemagne : Le Pavillon du Maroc fait sensation à la Foire de Hanovre
-
Lancement d’un projet de suivi et reporting en matière de devoir de vigilance
Le groupe Abu Dhabi National Energy Company PJSC (TAQA) vient de procéder à plusieurs opérations de reclassement intragroupe des participations détenues dans la société Jorf Lasfar Energy Company « JLEC », acquérant ainsi auprès de ses filiales 20 236 586 actions de la société JLEC et franchissant à la hausse les seuils de participation de 5%, 10%, 20%, 33,33%, 50% et 66,66% du capital de la société JLEC. Le Groupe TAQA contrôle désormais directement 85,79% du capital de JLEC, selon un communiqué du Conseil déontologique des valeurs mobilières (CDVM).
Pour sa part, la société « AB CYTHERE 63» représentée par son président, Frank Josef Perez, a déclaré le 30 décembre 2013, avoir cédé le 26 décembre 2013, sur le marché de blocs, 20 187 779 actions JLEC, au prix unitaire de 447,50DH, franchissant à la baisse les seuils de participation de 66,66%, 50%, 33,33%, 20%, 10% et 5% dans le capital de ladite société.
Et, conformément à la réglementation du marché boursier, en franchissant à la hausse le seuil de 40% du capital et des droits de vote de JLEC, le Groupe TAQA devrait, selon l’article 18 de la loi 26-03 relative aux offres publiques sur le marché boursier telle que modifiée et complétée, déposer un projet d’offre publique d’achat (OPA).
Toutefois, considérant que cette opération résulte du reclassement intragroupe des participations qu’elle détient dans JLEC via ses filiales, et que ces transactions ne remettent pas en cause le contrôle de la société, le Groupe TAQA a sollicité, auprès du Conseil déontologique des valeurs mobilières (CDVM), une dérogation à la loi relative aux offres publiques. Cette requête du groupe émirati a été acceptée par le gendarme de la Place.
SIAM. Le pôle élevage, un potentiel colossal qui force l'admiration
