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L'ancien Premier ministre britannique Tony Blair a présenté un rapport révélant que lutter activement contre le réchauffement climatique pourrait entraîner la création de quelque 10 millions d'emplois dans les pays développés d'ici 2020.
Encourageant les dirigeants de tous les pays du monde à s'unir contre le réchauffement climatique en concluant un accord ambitieux quant à la réduction des émissions de gaz à effet de serre, Tony Blair estime que 10 millions d'emplois pourraient être créés d'ici 2020. D'après un rapport rédigé par plusieurs économistes de Cambridge, un accord mondial sur le climat pourrait, en 10 ans, permettre une croissance du PIB mondial de 0,8 %. Se montrant optimiste quant à l'issue du Sommet international sur le climat qui se tiendra dans moins de deux mois à Copenhague, Tony Blair a déclaré : "Je pense que c'est possible, et le but de ce rapport est de montrer qu'en termes économiques, à moyen et long terme, nous avons grandement intérêt à trouver un accord global". S'il concède que le coût des investissements dans les énergies renouvelables et peu émettrices de gaz à effet de serre n'est pas encourageant dans la situation de crise actuelle, il assure que "à moyen et long terme, il y aura de vrais bénéfices".
Encourageant les dirigeants de tous les pays du monde à s'unir contre le réchauffement climatique en concluant un accord ambitieux quant à la réduction des émissions de gaz à effet de serre, Tony Blair estime que 10 millions d'emplois pourraient être créés d'ici 2020. D'après un rapport rédigé par plusieurs économistes de Cambridge, un accord mondial sur le climat pourrait, en 10 ans, permettre une croissance du PIB mondial de 0,8 %. Se montrant optimiste quant à l'issue du Sommet international sur le climat qui se tiendra dans moins de deux mois à Copenhague, Tony Blair a déclaré : "Je pense que c'est possible, et le but de ce rapport est de montrer qu'en termes économiques, à moyen et long terme, nous avons grandement intérêt à trouver un accord global". S'il concède que le coût des investissements dans les énergies renouvelables et peu émettrices de gaz à effet de serre n'est pas encourageant dans la situation de crise actuelle, il assure que "à moyen et long terme, il y aura de vrais bénéfices".