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L'Inde expérimente l'ensemencement des nuages à Delhi pour lutter contre la pollution
Des chercheurs néerlandais expérimentent un boîtier qui, fixé sur son smartphone, est capable de mesurer la concentration de particules fines dans l’air.
L’air est-il pollué aujourd’hui ? Pour le savoir, vous pourriez accrocher un appareil en plastique sur la caméra de votre iPhone pour détecter les couleurs des particules fines qui flottent dans l’air. Eh oui, la pollution ne se voit pas à l’œil nu mais elle a pourtant bien une couleur. Les gaz d’échappement, les rejets industriels ou encore les particules extraites de l’incinération des déchets ont un spectre de couleurs bien précis, une “empreinte unique”, explique Courrier International qui rapporte l’information.
Ce capteur de couleurs ingénieux a été imaginé par une équipe de chercheurs de l’université de Leyde, aux Pays-Bas. Le prototype est encore en phase de tests mais si vous allez en Hollande, vous pourrez peut-être apercevoir des passants scruter le ciel en tenant leur iPhone en l’air.
Rien que la semaine dernière, des milliers d’Hollandais ont participé à l’expérimentation. Cet effort collectif a permis de collecter 5.000 mesures de la qualité de l’air. Ces données vont être ensuite comparées à celles prises par des spectromètres professionnels. “Le but est de déterminer si ces téléphones peuvent réaliser des mesures fiables”, explique Frans Snik, astronome et chef du groupe de recherche. A la fin de l’été, les premiers résultats de cette étude devraient être connus. On saura alors si notre iPhone pourra à l’avenir nous mettre en garde contre la pollution atmosphérique. “Notre rêve serait de développer un réseau à l’échelle européenne, voire mondiale”, espèrent les scientifiques.
L’air est-il pollué aujourd’hui ? Pour le savoir, vous pourriez accrocher un appareil en plastique sur la caméra de votre iPhone pour détecter les couleurs des particules fines qui flottent dans l’air. Eh oui, la pollution ne se voit pas à l’œil nu mais elle a pourtant bien une couleur. Les gaz d’échappement, les rejets industriels ou encore les particules extraites de l’incinération des déchets ont un spectre de couleurs bien précis, une “empreinte unique”, explique Courrier International qui rapporte l’information.
Ce capteur de couleurs ingénieux a été imaginé par une équipe de chercheurs de l’université de Leyde, aux Pays-Bas. Le prototype est encore en phase de tests mais si vous allez en Hollande, vous pourrez peut-être apercevoir des passants scruter le ciel en tenant leur iPhone en l’air.
Rien que la semaine dernière, des milliers d’Hollandais ont participé à l’expérimentation. Cet effort collectif a permis de collecter 5.000 mesures de la qualité de l’air. Ces données vont être ensuite comparées à celles prises par des spectromètres professionnels. “Le but est de déterminer si ces téléphones peuvent réaliser des mesures fiables”, explique Frans Snik, astronome et chef du groupe de recherche. A la fin de l’été, les premiers résultats de cette étude devraient être connus. On saura alors si notre iPhone pourra à l’avenir nous mettre en garde contre la pollution atmosphérique. “Notre rêve serait de développer un réseau à l’échelle européenne, voire mondiale”, espèrent les scientifiques.








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