
Autres articles
-
Avec un gâteau de 121 mètres, la France récupère le record du plus grand fraisier du monde
-
Une ONG américaine recommande d'interdire les compagnons IA aux mineurs
-
Un teckel retrouvé après une fugue de 529 jours en Australie
-
Des pistes intéressantes contre la résistance aux antibiotiques
-
Plus de deux milliards de personnes risquent de basculer dans la pauvreté
La pollution aérienne pourrait réduire l’espérance de vie d’un enfant de sept mois, selon une étude du King’s College de Londres. L’étude a été menée à Birmingham et s’est penchée sur l’impact des particules fines et du dioxyde de nitrogène, deux polluants et facteurs d’une mauvaise santé liée à la pollution aérienne, ainsi qu’à la mort, ou au raccourcissement de l’espérance de vie.
Les scientifiques ont découvert qu’un enfant de huit ans né en 2011 pourrait mourir entre 2 et 7 mois plus tôt s’il est exposé à ce que l’on prévoit comme pollution aérienne pour le reste de sa vie. L’impact de la pollution aérienne est pire à Birmingham que dans les autres grandes villes anglaises, comme Manchester, qui a aussi été étudiée.
Selon Polly Billington, directrice du réseau UK100, qui a commandité la recherche, « ce rapport devrait réveiller les législateurs, non seulement à Birmingham, mais dans le reste du pays. Nous devons prendre à bras-le-corps ce problème invisible qui réduit l’espérance de vie de nos enfants et dégrade la santé de milliers d’adultes. En travaillant tous ensemble, conseils locaux et gouvernement, nous pourrons mettre en place des zones d’air pur qui nous permettront de respirer sereinement », a-t-elle expliqué.
L’étude s’est penchée sur des problèmes de santé non fatals tels que l’asthme, et a calculé le coût de la pollution aérienne à Birmingham, qui est entre 238 millions et 590 millions de dollars par an.
Les auteurs ont expliqué que ce n’était pas le coût factuel, mais juste une mesure de ce que la société considère comme raisonnable de dépenser pour réduire la pollution aérienne. Simon Stevens, des services de sécurité sociale britannique, ajoute que « 2,6 millions d’enfants respirent des fumées toxiques en Angleterre tous les jours ».
Les scientifiques ont découvert qu’un enfant de huit ans né en 2011 pourrait mourir entre 2 et 7 mois plus tôt s’il est exposé à ce que l’on prévoit comme pollution aérienne pour le reste de sa vie. L’impact de la pollution aérienne est pire à Birmingham que dans les autres grandes villes anglaises, comme Manchester, qui a aussi été étudiée.
Selon Polly Billington, directrice du réseau UK100, qui a commandité la recherche, « ce rapport devrait réveiller les législateurs, non seulement à Birmingham, mais dans le reste du pays. Nous devons prendre à bras-le-corps ce problème invisible qui réduit l’espérance de vie de nos enfants et dégrade la santé de milliers d’adultes. En travaillant tous ensemble, conseils locaux et gouvernement, nous pourrons mettre en place des zones d’air pur qui nous permettront de respirer sereinement », a-t-elle expliqué.
L’étude s’est penchée sur des problèmes de santé non fatals tels que l’asthme, et a calculé le coût de la pollution aérienne à Birmingham, qui est entre 238 millions et 590 millions de dollars par an.
Les auteurs ont expliqué que ce n’était pas le coût factuel, mais juste une mesure de ce que la société considère comme raisonnable de dépenser pour réduire la pollution aérienne. Simon Stevens, des services de sécurité sociale britannique, ajoute que « 2,6 millions d’enfants respirent des fumées toxiques en Angleterre tous les jours ».