

-
Une constellation de stars marocaines au pays de l'Oncle Sam
-
Youssef Amrani : La participation du WAC au Mondial des Clubs, un signal fort des avancées majeures du sport national
-
Le Championnat du Maroc de cyclisme sur route à Ifrane
-
Lahoucine Bahi : Le sport, un puissant vecteur d'unité et de développement qui transcende les frontières
-
Appel à l’institutionnalisation d'un forum africain annuel de la formation sportive
L’année 2012 a été celle du ratage sur toute la ligne, que ce soit pour les sports individuels ou collectifs. Au point qu’il était difficile pour pratiquement l’ensemble des desks sportifs de plusieurs rédactions de désigner les lauréats des deux sexes. Mais comme il a fallu un nom, chez les messieurs, il était donc évident que le choix porte sur Abdelaâti Iguider, le médaillé de bronze aux Jeux olympiques d’été de Londres et médaillé d’or aux Mondiaux in door d’Instanbul, sur la même distance du 1500 m.
Chez les dames, la tâche a été des plus ardues. Et avant d’accoucher de ces quelques lignes, je tiens à ce que je ne sois pas mal compris. L’on ne peut donc que saluer comme il se doit l’excellente performance de la championne Najat El Garaa qui a décroché l’or à l’épreuve du lancer de disque (F40), lors des Jeux paralympiques de Londres, avec à la clé un nouveau record du monde (32,37m). Un exploit à caser dans la catégorie des personnes à besoins spécifiques et non pas dans la case des sportifs valides. Sacrée différence qui n’enlève en aucun cas le mérite à Najat El Garaa à qui l’on souhaite une carrière riche en consécrations au niveau paralympique.
Pourvu que 2013 soit bien meilleure que la saison écoulée, même si ça fait quelque temps que, faute de mieux, l’on se trouve dans l’obligation de coller le titre de meilleur et meilleure sportif (ve) au premier (ère) athlète qui réalise le moindre exploit.