Au Brésil, une espèce de tortue en voie de disparition et observée à de rares occasions par le passé, a profité de l’absence des humains sur les plages pour y pondre ses œufs. Les oiseaux se sont remis à chanter dans les grandes villes et la pollution a baissé de manière drastique. En conséquence, la couche d’ozone est en rémission. A toute chose malheur est bon. Si la nature pouvait parler, elle remercierait chaleureusement le confinement dû à la crise de la Covid-19. Le silence qui s’est installé dans nos rues n’a pas eu pour unique effet de nous faire reposer les tampons du brouhaha des klaxons. Il a aussi permis à la nature de se réapproprier les espaces que les humains lui ont spoliés, avec en prime, un immense impact sur l’environnement. Inspirer un grand bol d’air sur le balcon est redevenu un plaisir depuis que l’odeur âcre de la pollution s’est évaporée. Le confinement n’est évidemment pas tous les jours rigolo. Pour beaucoup, c’est même une expérience douloureuse à vivre, contrairement à la nature qui n’a pas tardé à en tirer profit
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La nature remercie le confinementLibé
Vendredi 1 Janvier 2021
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