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La Fédération turque d'athlétisme a ainsi été récemment informée qu'une quinzaine de sportifs avaient été convaincus d'utilisation de produits dopants, parmi lesquels Esref Apak, médaille d'argent du lancer du marteau aux Jeux olympiques d'Athènes (2004), écrivent les journaux Hürriyet et Vatan.
Toutes disciplines confondues, la liste des athlètes turcs concernés pourrait dépasser les trente noms, ont ajouté les deux quotidiens.
La Fédération turque d'athlétisme avait déjà exclu en avril la médaille d'or du 1.500 m aux JO de Londres, Asli Cakir Alptekin, la championne d'Europe du 100 m haies, Nevin Yanit, et trois autres athlètes de sa sélection pour les Jeux méditerranéens qui se déroulent actuellement à Mersin (sud de la Turquie) sur des soupçons de dopage.
Leurs noms figuraient sur une liste d'athlètes turcs contrôlés positifs par l'Agence internationale de lutte contre le dopage. Contactée par l'AFP, la Fédération turque d'athlétisme s'est refusée à tout commentaire. Une première infraction aux règles sur le dopage en 2004 avait déjà écarté Asli Cakir Alptekin des pistes pendant deux ans, alors qu'elle n'était que junior.
Nevin Yanit, 5e du 100 m haies aux JO de Londres à Londres et championne d'Europe de la distance à Barcelone (2010) et Helsinki (2012), est également dans le collimateur de sa fédération.
Ces dossiers ont été révélés alors qu'Istanbul est candidate à l'organisation des Jeux olympiques d'été 2020.









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