-
Le CNDH plaide à Genève pour une gouvernance équitable de l'eau et de l’énergie fondée sur les droits humains
-
Khadija Bendam nommée présidente du Conseil international des sociétés nucléaires
-
Appel au respect des règles juridiques encadrant le traitement des avis de recherche
-
Marhaba 2025 : Affluence "record" avec plus de 4 millions de MRE accueillis

La Cour de cassation a également déclaré recevables les recours des autres personnes poursuivies dans cette affaire, au nombre de 21.
La Chambre criminelle chargée des crimes financiers à la Cour d'appel de Rabat avait porté, le 25 avril 2012, de 4 à 5 ans de prison ferme la condamnation de l'ancien président de la MGPAP, reconnu coupable pour "dilapidation de deniers publics".
La Cour avait, cependant, abandonné les charges de "détournement de fonds et d'abus de pouvoir" qui pesaient contre l'ancien président de la MGPAP, condamné, en avril 2011, par la Chambre criminelle près le tribunal de première instance à 4 ans d'emprisonnement dans la limite de 30 mois fermes, avec sursis pour le reste de la peine, et à une amende de 10.000 DH.
La juridiction avait également prononcé des verdicts allant de l'acquittement jusqu'à 2 ans de prison contre les 21 personnes poursuivies dans le cadre du même dossier.
Les mis en cause, dont des hommes d'affaires, des chefs d'entreprises, des fonctionnaires, un médecin, une journaliste, une notaire, un ingénieur, un enseignant et une déléguée, avaient été poursuivis, chacun en ce qui le concerne, pour "détournement de deniers publics, faux et usage de faux, corruption, abus de confiance, abus de pouvoir, blanchiment de fonds et participation".