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L’île-continent a ainsi été le pays à enregistrer le plus d’attaques l’an dernier, d’après les données mondiales du programme de recherche sur les requins du Musée d’histoire naturelle de Floride. Sur l’ensemble des attaques en général, environ 15% des victimes décèdent. Habituellement, un peu plus de la moitié des attaques se produisent aux Etats-Unis. Les autres zones sont les rives de l’Australie, l’Afrique du Sud, le Brésil, l’île française de La Réunion. La réduction des attaques permettrait aussi de diminuer la pression sur les requins, dont certaines espèces sont menacées par les activités humaines. Le grand requin blanc est ainsi classé vulnérable sur la liste rouge de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
“Si un nombre moins important de personnes ont des incidents négatifs avec les requins, les motifs pour tuer les requins +problématiques+, que ce soit directement à travers la chasse, des filets de plage ou des lignes pour les piéger pourraient diminuer”, estime Corey Bradshaw, professeur à l’université Flinders à Adelaide.