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Les médecins jugent l'état de santé des fillettes. L’opération de séparation s’avère complexe pour les sœurs siamoises Retag et Rittal Abou Assi, hospitalisées mardi à la Cité médicale Abdelaziz de Riyad. Les médecins craignent qu’elles ne puissent supporter une telle intervention.
"Les examens confirment que l'état des siamoises Rittal et Retag est très critique et pas du tout stable", a annoncé un porte-parole de l’hôpital Sami al-Chaalan.
Les deux fillettes nées il y a 12 jours sont reliées par la poitrine, partagent le même côlon ainsi que le même cœur. Le porte-parole a ajouté que leur cœur commun était "très faible" rendant l’opération particulièrement délicate à réaliser.
Les deux sœurs avaient, sous ordre du roi, été transportées avec leurs parents et une équipe médicale palestinienne d’un hôpital de la bande de Gaza vers l’hôpital de Riyad, spécialisé dans la séparation de siamois. L'Égypte avait exceptionnellement accepté d’ouvrir le point de passage de Rafah pour les laisser passer. Le roi avait par ailleurs pris totalement en charge leur intervention.
Une équipe médicale comprenant le ministre de la Santé, Abdallah al-Rabia et un médecin qui a, par le passé, séparé de nombreux siamois les avait examinées dès leur arrivée. Sur les 58 cas de siamois déjà traités dans cet hôpital, vingt-cinq ont pu être séparés, a précisé M. Chaalan.
"Les examens confirment que l'état des siamoises Rittal et Retag est très critique et pas du tout stable", a annoncé un porte-parole de l’hôpital Sami al-Chaalan.
Les deux fillettes nées il y a 12 jours sont reliées par la poitrine, partagent le même côlon ainsi que le même cœur. Le porte-parole a ajouté que leur cœur commun était "très faible" rendant l’opération particulièrement délicate à réaliser.
Les deux sœurs avaient, sous ordre du roi, été transportées avec leurs parents et une équipe médicale palestinienne d’un hôpital de la bande de Gaza vers l’hôpital de Riyad, spécialisé dans la séparation de siamois. L'Égypte avait exceptionnellement accepté d’ouvrir le point de passage de Rafah pour les laisser passer. Le roi avait par ailleurs pris totalement en charge leur intervention.
Une équipe médicale comprenant le ministre de la Santé, Abdallah al-Rabia et un médecin qui a, par le passé, séparé de nombreux siamois les avait examinées dès leur arrivée. Sur les 58 cas de siamois déjà traités dans cet hôpital, vingt-cinq ont pu être séparés, a précisé M. Chaalan.