Autres articles
-
Aux Pays-Bas, l'épineux problème des pesticides sur les fleurs
-
Pas de révélation des causes de l'autisme en septembre, corrigent les Etats-Unis
-
Un chauffeur de bus vole 6 euros et perd 73.000 euros de prime de retraite
-
Des shampoings aux aspirateurs, le petit commerce souffre des droits de douane de Trump
-
La neige au plus bas dans l'Himalaya

Une étude, publiée mercredi, indique que des scientifiques ont découvert à 2,4 km de profondeur, dans une mine canadienne, des poches contenant une eau vieille d’au moins 1,5 milliard d’années (et, de façon possible, jusqu’à 2,7 milliards d’années).
Selon les chercheurs britanniques et canadiens qui ont fait cette trouvaille, cette eau est restée isolée du monde extérieur depuis le Précambrien (période allant de la formation de la Terre, il y a 4,5 milliards d’années, à 540 millions d’années environ).
Les analyses de cette eau ancestrale révèlent une importante présence de gaz dissous. On y retrouve notamment de l’hydrogène, du méthane et différentes formes atomiques (isotopes) de gaz rares tels l’hélium, le néon, l’argon ou le xénon, rapporte ouest-france.fr. Ce qui est intéressant, c’est que ces gaz peuvent fournir de l’énergie à des microbes protégés du Soleil durant des milliards d’années.
“C’est d’un intérêt majeur pour les scientifiques qui cherchent à comprendre comment les microbes évoluent en isolement. Et c’est au cœur de toutes les questions sur l’origine de la vie, de son développement, et de la survie dans des milieux extrêmes ou d’autres planètes”, explique Chris Ballentine, de l’Université britannique de Manchester. D’autant qu’il ne s’agit pas là de quelques petites bulles d’eau insignifiantes, bien au contraire.
Une eau propice à la vie...Microbienne ? En effet, dans cette mine canadienne, l’eau coule au débit de deux litres/minute. “Nos collègues canadiens sont en train d’essayer de voir si l’eau contient une forme de vie. Mais ce dont on est déjà sûr, c’est que nous avons identifié comment les planètes peuvent créer et préserver durant des milliards d’années un environnement propice à la vie microbienne, aussi inhospitalière que soit leur surface”, explique Greg Holland, de l’Université de Lancaster.
Ainsi, cette surprenante découverte laisse à penser aux chercheurs que des réserves d’eau similaires pourraient être retrouvées sur la planète Mars.
“Si des fluides aussi anciens, présentant de telles concentrations en hydrogène et en méthane, sont préservés profondément sous la croûte terrestre pendant des milliards d’années, peut-être des milieux similaires ont-ils été préservés sous la surface de Mars”, conclut l’étude.
Selon les chercheurs britanniques et canadiens qui ont fait cette trouvaille, cette eau est restée isolée du monde extérieur depuis le Précambrien (période allant de la formation de la Terre, il y a 4,5 milliards d’années, à 540 millions d’années environ).
Les analyses de cette eau ancestrale révèlent une importante présence de gaz dissous. On y retrouve notamment de l’hydrogène, du méthane et différentes formes atomiques (isotopes) de gaz rares tels l’hélium, le néon, l’argon ou le xénon, rapporte ouest-france.fr. Ce qui est intéressant, c’est que ces gaz peuvent fournir de l’énergie à des microbes protégés du Soleil durant des milliards d’années.
“C’est d’un intérêt majeur pour les scientifiques qui cherchent à comprendre comment les microbes évoluent en isolement. Et c’est au cœur de toutes les questions sur l’origine de la vie, de son développement, et de la survie dans des milieux extrêmes ou d’autres planètes”, explique Chris Ballentine, de l’Université britannique de Manchester. D’autant qu’il ne s’agit pas là de quelques petites bulles d’eau insignifiantes, bien au contraire.
Une eau propice à la vie...Microbienne ? En effet, dans cette mine canadienne, l’eau coule au débit de deux litres/minute. “Nos collègues canadiens sont en train d’essayer de voir si l’eau contient une forme de vie. Mais ce dont on est déjà sûr, c’est que nous avons identifié comment les planètes peuvent créer et préserver durant des milliards d’années un environnement propice à la vie microbienne, aussi inhospitalière que soit leur surface”, explique Greg Holland, de l’Université de Lancaster.
Ainsi, cette surprenante découverte laisse à penser aux chercheurs que des réserves d’eau similaires pourraient être retrouvées sur la planète Mars.
“Si des fluides aussi anciens, présentant de telles concentrations en hydrogène et en méthane, sont préservés profondément sous la croûte terrestre pendant des milliards d’années, peut-être des milieux similaires ont-ils été préservés sous la surface de Mars”, conclut l’étude.