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L’Institut national du cancer (Inca) en France, appuyé par les données du dernier rapport d’experts du Fonds mondial de recherche contre le cancer, précise que près de 30% de ces affections pourraient être évitées si de meilleures habitudes alimentaires étaient adoptées par la population.
Les habitudes alimentaires et le mode de vie seraient la cause de 30% d’entre eux. Cette affirmation de l’Inca s’appuie sur le rapport d’experts du Fonds mondial de recherche contre le cancer (WCRF). Ce rapport publié tous les 10 ans a analysé plus de 7000 études scientifiques liées au cancer et pointe du doigt certaines causes : le surpoids, l’obésité, l’alcool et le tabac sont des causes déjà bien connues, mais le sel, les viandes rouges, les charcuteries et les compléments alimentaires enrichis en bêta carotène sont aussi mis en cause.
Une activité physique régulière et une alimentation riche en fruits et légumes sont considérés comme de bons réducteurs de risque. Toutefois, tous les aliments n’ont pas la même capacité préventive. La tomate contribue à prévenir les cancers de la prostate, l’ail empêche la croissance des tumeurs colorectales, les pistaches réduisent le risque de développer un cancer du poumon... S’il n’existe pas de fruit ou de légume “miracle”, les vitamines, antioxydants et oligoéléments qu’ils contiennent sont nécessaires pour être en bonne santé et prévenir un grand nombre de maladies, y compris le cancer.
Les habitudes alimentaires et le mode de vie seraient la cause de 30% d’entre eux. Cette affirmation de l’Inca s’appuie sur le rapport d’experts du Fonds mondial de recherche contre le cancer (WCRF). Ce rapport publié tous les 10 ans a analysé plus de 7000 études scientifiques liées au cancer et pointe du doigt certaines causes : le surpoids, l’obésité, l’alcool et le tabac sont des causes déjà bien connues, mais le sel, les viandes rouges, les charcuteries et les compléments alimentaires enrichis en bêta carotène sont aussi mis en cause.
Une activité physique régulière et une alimentation riche en fruits et légumes sont considérés comme de bons réducteurs de risque. Toutefois, tous les aliments n’ont pas la même capacité préventive. La tomate contribue à prévenir les cancers de la prostate, l’ail empêche la croissance des tumeurs colorectales, les pistaches réduisent le risque de développer un cancer du poumon... S’il n’existe pas de fruit ou de légume “miracle”, les vitamines, antioxydants et oligoéléments qu’ils contiennent sont nécessaires pour être en bonne santé et prévenir un grand nombre de maladies, y compris le cancer.