Autres articles
-
Des experts américains veulent supprimer des vaccins un composant critiqué par les antivax
-
A Nairobi, des femmes DJ veulent occuper le devant de la scène
-
Japon : Un ours force à l'annulation de vols
-
Des orques fabriquent des "outils" pour se masser mutuellement
-
En France, pays du fromage, un éleveur parie sur le lait de chamelle
Le secrétaire général des Nations-unies, Ban Ki-moon, a rencontré des réalisateurs, scénaristes et acteurs hollywoodiens afin de les engager dans la lutte qui est menée contre le réchauffement climatique.
Les films hollywoodiens ont un impact mondial. C’est en partant de ce constat que le secrétaire général des Nations-unies, Ban Ki-moon a rencontré des stars hollywoodiennes en leur faisant toucher du doigt l’urgence qu’il y a à réagir en luttant contre le réchauffement climatique, rapporte 20minutes.fr.
“J’ai vu les conséquences du réchauffement de l’Antarctique à la forêt amazonienne et au lac Tchad. Je suis sûr qu’Hollywood peut faire de bonnes histoires à partir de ça”, indique le secrétaire général de l’Onu. Face aux vedettes du cinéma, des vedettes du climat étaient conviées pour intervenir sur le sujet. C’était le cas avec Rajendra Pachauri, le président du Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat).
La question du réchauffement climatique semblant désintéresser les Américains, les Nations-unies comptent beaucoup sur le cinéma pour faire prendre conscience au plus gros pollueur du monde de l’urgence de réagir et de la gravité de la situation, notamment en ce qui concerne les gaz à effet de serre.
Les films hollywoodiens ont un impact mondial. C’est en partant de ce constat que le secrétaire général des Nations-unies, Ban Ki-moon a rencontré des stars hollywoodiennes en leur faisant toucher du doigt l’urgence qu’il y a à réagir en luttant contre le réchauffement climatique, rapporte 20minutes.fr.
“J’ai vu les conséquences du réchauffement de l’Antarctique à la forêt amazonienne et au lac Tchad. Je suis sûr qu’Hollywood peut faire de bonnes histoires à partir de ça”, indique le secrétaire général de l’Onu. Face aux vedettes du cinéma, des vedettes du climat étaient conviées pour intervenir sur le sujet. C’était le cas avec Rajendra Pachauri, le président du Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat).
La question du réchauffement climatique semblant désintéresser les Américains, les Nations-unies comptent beaucoup sur le cinéma pour faire prendre conscience au plus gros pollueur du monde de l’urgence de réagir et de la gravité de la situation, notamment en ce qui concerne les gaz à effet de serre.