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Jamel Debbouze est en pleine promotion de son nouveau spectacle. Il en profite pour se confier au sujet de sa vie de famille et de ce qu’il pense du chef de l’État.
L’humoriste, interviewé par Télérama, nous gratifie de révélations sur la première rencontre entre la famille de Mélissa Theuriau et la sienne : « Des a priori et des appréhensions partout : eux pensaient qu’on les jugeait, et d’ailleurs on les jugeait, nous on pensait qu’ils avaient peur de nous, et ils avaient peur de nous ! Heureusement qu’on a pu s’expliquer et que ce sont des gens ouverts et intelligents! »
Concernant le président de la République, Jamel Debbouze raconte ainsi leur rencontre : « Je suis allé le voir pour demander son appui pour Indigènes. [...] Il a été digne de lui, naturellement condescendant. J’en avais profité pour lui demander pourquoi il passait son temps à monter les camps les uns contre les autres, c’était l’époque de ses déclarations sur le Kärcher. Il me demande dans quel camp je suis. Je lui réponds : ‘Je suis dans le camp de la France, et vous ?’ Et il se retourne vers Cécilia, et lui dit : ‘Tu vois, je te l’avais dit qu’il était intelligent.’ J’ai fini par discuter avec leur jeune fils, Louis, c’était plus intéressant ».
L’humoriste, interviewé par Télérama, nous gratifie de révélations sur la première rencontre entre la famille de Mélissa Theuriau et la sienne : « Des a priori et des appréhensions partout : eux pensaient qu’on les jugeait, et d’ailleurs on les jugeait, nous on pensait qu’ils avaient peur de nous, et ils avaient peur de nous ! Heureusement qu’on a pu s’expliquer et que ce sont des gens ouverts et intelligents! »
Concernant le président de la République, Jamel Debbouze raconte ainsi leur rencontre : « Je suis allé le voir pour demander son appui pour Indigènes. [...] Il a été digne de lui, naturellement condescendant. J’en avais profité pour lui demander pourquoi il passait son temps à monter les camps les uns contre les autres, c’était l’époque de ses déclarations sur le Kärcher. Il me demande dans quel camp je suis. Je lui réponds : ‘Je suis dans le camp de la France, et vous ?’ Et il se retourne vers Cécilia, et lui dit : ‘Tu vois, je te l’avais dit qu’il était intelligent.’ J’ai fini par discuter avec leur jeune fils, Louis, c’était plus intéressant ».