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Casse
Une banque du centre d'Helsinki a été la cible d'un casse inattendu jeudi à l'aube quand un élan a fait irruption en brisant une vitre, a indiqué la police finlandaise.
Bien avant l'heure d'ouverture, le cervidé "a soudain sauté à travers la vitre d'une banque. Il s'est grièvement blessé", ont rapporté les forces de l'ordre dans un communiqué.
L'histoire s'est mal terminée pour le jeune animal, âgé d'environ un an. Ses blessures et son comportement erratique, qui lui a fait érafler au moins une voiture, ont incité la police à l'abattre avant qu'il ne blesse quelqu'un.
"Les cas comme celui-là sont relativement rares et parfois les élans peuvent être guidés pour sortir des zones densément peuplées. Souvent, ils comprennent eux-mêmes qu'il faut éviter les centres-villes", a commenté l'inspecteur Arto Laitinen.
L'hypothèse la plus probable est que l'animal est arrivé par Seurasaari, île proche du centre de la capitale où la nature est préservée dans un état relativement sauvage, avant de tenter une escapade vers la civilisation.
Les incursions des élans dans les villes sont un phénomène courant dans les pays nordiques. En 2014, un élan s'était grièvement blessé lui aussi en passant à travers la fenêtre d'une salle de classe dans la banlieue de Göteborg (sud-ouest de la Suède), avant d'être abattu.
Les ours peuvent aussi s'approcher des villes. Les habitants d'Hamina, dans le sud-est de la Finlande, avaient été alertés mi-mai de l'errance de l'un d'entre eux dans les rues, avant qu'il ne retrouve le chemin des forêts.
Une banque du centre d'Helsinki a été la cible d'un casse inattendu jeudi à l'aube quand un élan a fait irruption en brisant une vitre, a indiqué la police finlandaise.
Bien avant l'heure d'ouverture, le cervidé "a soudain sauté à travers la vitre d'une banque. Il s'est grièvement blessé", ont rapporté les forces de l'ordre dans un communiqué.
L'histoire s'est mal terminée pour le jeune animal, âgé d'environ un an. Ses blessures et son comportement erratique, qui lui a fait érafler au moins une voiture, ont incité la police à l'abattre avant qu'il ne blesse quelqu'un.
"Les cas comme celui-là sont relativement rares et parfois les élans peuvent être guidés pour sortir des zones densément peuplées. Souvent, ils comprennent eux-mêmes qu'il faut éviter les centres-villes", a commenté l'inspecteur Arto Laitinen.
L'hypothèse la plus probable est que l'animal est arrivé par Seurasaari, île proche du centre de la capitale où la nature est préservée dans un état relativement sauvage, avant de tenter une escapade vers la civilisation.
Les incursions des élans dans les villes sont un phénomène courant dans les pays nordiques. En 2014, un élan s'était grièvement blessé lui aussi en passant à travers la fenêtre d'une salle de classe dans la banlieue de Göteborg (sud-ouest de la Suède), avant d'être abattu.
Les ours peuvent aussi s'approcher des villes. Les habitants d'Hamina, dans le sud-est de la Finlande, avaient été alertés mi-mai de l'errance de l'un d'entre eux dans les rues, avant qu'il ne retrouve le chemin des forêts.
Calèches
Le maire de Montréal Denis Coderre, débouté en référé, a dû se résoudre mercredi à accepter le retour des calèches dans le vieux Montréal à la grande joie des cochers et des touristes.
Il y a tout juste une semaine, le maire de l'agglomération québécoise avait donné une semaine aux cochers pour remiser les calèches et laisser leurs chevaux à l'écurie, un moratoire pris pour "le bien-être des chevaux".
Mercredi, le juge des référés a donné raison aux cochers dont l'avocat Audi Grozlan avait plaidé l'abus de pouvoir de la ville. "Ce sont des droits acquis depuis quelques années, des permis ont été émis et trois mois plus tard la ville de Montréal décide unilatéralement d'enlever ces permis", a souligné l'avocat des cochers à la sortie du tribunal.
Le juge avait donné neuf jours à la mairie pour présenter un avis motivé mais le maire a décidé de laisser les calèches opérer pour la saison estivale.
"Très clairement, le moratoire n'était pas la bonne solution", a reconnu Denis Coderre tout en soulignant que "le problème demeure entier" pour la sécurité des chevaux.
Le mois dernier, un cheval avait échappé à la surveillance de son cocher et un véhicule avait percuté la calèche, provoquant la chute de la monture. L'an dernier, un cheval avait été sérieusement blessé après avoir glissé sur une plaque de métal.
"Il y aura une nouvelle réglementation" pour les véhicules hippomobiles dans les rues du vieux quartier de la ville et du port, a promis le maire.
Le maire de Montréal Denis Coderre, débouté en référé, a dû se résoudre mercredi à accepter le retour des calèches dans le vieux Montréal à la grande joie des cochers et des touristes.
Il y a tout juste une semaine, le maire de l'agglomération québécoise avait donné une semaine aux cochers pour remiser les calèches et laisser leurs chevaux à l'écurie, un moratoire pris pour "le bien-être des chevaux".
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