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Emoticônes
Le chef du gouvernement de Hong Kong, Leung Chun-ying, a reçu samedi près de 133.000 émoticônes “en colère” sur son profil Facebook, soit 100 fois plus que le candidat républicain à la Maison Blanche Donald Trump, trois jours après l’introduction par le réseau social de nouveaux boutons pour exprimer les sentiments.
Le Premier ministre britannique David Cameron a récolté de son côté 40 “Grrr” tandis que le président américain Barack Obama en comptabilise 27. Leung Chun-ying, un proche de Pékin, est à ce titre la bête noire du mouvement prodémocratie local. Il avait été caricaturé sous la forme d’un vampire lors du “Mouvement des parapluies” en 2014.
Le milliard et demi d’utilisateurs de Facebook peut maintenant “adorer” avec un coeur rose la photo ou les informations partagées par ses amis.
Plus exubérant, un smiley bouche ouverte permettra de s’exclamer “Wouah”, et si la publication est drôle, on peut cliquer sur “Haha” avec un bonhomme aux yeux plissés.
Sur un registre plus sombre, les internautes ont le choix entre le bouton “triste” et son visage au sourire inversé ou le bouton “Grrr” (appelé “en colère” dans la version canadienne du site) avec un émoticône tout rouge.
Neige artificielle
Pour accueillir une toute prochaine étape de la Coupe du monde de ski de fond sur un tracé en plein coeur de Montréal, les organisateurs ont composé avec les caprices de l’hiver en ayant recours à de la neige artificielle.
Là où ces dernières années le célèbre Mont-Royal de Montréal était recouvert d’un épais tapis neigeux fin février, il a fallu cette année installer un canon à neige pour fabriquer 22.000 mètres cubes de neige artificielle, ont indiqué vendredi les organisateurs de l’événement. Sur une piste de 3,5 kilomètres au pied de “la montagne”, comme l’appellent communément les Montréalais, 150 athlètes doivent prendre part mercredi à une des dernières épreuves de la saison de Coupe du monde de ski nordique de la Fédération internationale de ski (FIS).
Avec autant de pluie que de neige depuis le début décembre, et parfois des redoux soudains, les conditions n’étaient pas réunies pour une telle épreuve et les organisateurs ont dû se résoudre à abandonner un parcours sur les hauteurs du Mont-Royal afin d’éviter d’acheminer la neige sur des sentiers souvent difficiles d’accès.
“Transporter jusqu’en haut toute la neige fabriquée au pied du mont aurait nécessité 500 voyages de gros camions, une tâche trop lourde et un risque de retards”, a expliqué à l’AFP Patrice Drouin, président de la société événementielle Gestev.
Le nouveau parcours, aussitôt validé par la FIS, a été conçu et réalisé en un mois, “un grand défi en milieu urbain”, a-t-il ajouté. Sur le plan sportif, il est “légèrement amélioré par rapport à celui du sommet, avec une piste de 3,5 km et un dénivelé de 111 mètres par tour, c’est un parcours de très haut calibre en pleine ville”, a estimé M. Drouin.
Le chef du gouvernement de Hong Kong, Leung Chun-ying, a reçu samedi près de 133.000 émoticônes “en colère” sur son profil Facebook, soit 100 fois plus que le candidat républicain à la Maison Blanche Donald Trump, trois jours après l’introduction par le réseau social de nouveaux boutons pour exprimer les sentiments.
Le Premier ministre britannique David Cameron a récolté de son côté 40 “Grrr” tandis que le président américain Barack Obama en comptabilise 27. Leung Chun-ying, un proche de Pékin, est à ce titre la bête noire du mouvement prodémocratie local. Il avait été caricaturé sous la forme d’un vampire lors du “Mouvement des parapluies” en 2014.
Le milliard et demi d’utilisateurs de Facebook peut maintenant “adorer” avec un coeur rose la photo ou les informations partagées par ses amis.
Plus exubérant, un smiley bouche ouverte permettra de s’exclamer “Wouah”, et si la publication est drôle, on peut cliquer sur “Haha” avec un bonhomme aux yeux plissés.
Sur un registre plus sombre, les internautes ont le choix entre le bouton “triste” et son visage au sourire inversé ou le bouton “Grrr” (appelé “en colère” dans la version canadienne du site) avec un émoticône tout rouge.
Neige artificielle
Pour accueillir une toute prochaine étape de la Coupe du monde de ski de fond sur un tracé en plein coeur de Montréal, les organisateurs ont composé avec les caprices de l’hiver en ayant recours à de la neige artificielle.
Là où ces dernières années le célèbre Mont-Royal de Montréal était recouvert d’un épais tapis neigeux fin février, il a fallu cette année installer un canon à neige pour fabriquer 22.000 mètres cubes de neige artificielle, ont indiqué vendredi les organisateurs de l’événement. Sur une piste de 3,5 kilomètres au pied de “la montagne”, comme l’appellent communément les Montréalais, 150 athlètes doivent prendre part mercredi à une des dernières épreuves de la saison de Coupe du monde de ski nordique de la Fédération internationale de ski (FIS).
Avec autant de pluie que de neige depuis le début décembre, et parfois des redoux soudains, les conditions n’étaient pas réunies pour une telle épreuve et les organisateurs ont dû se résoudre à abandonner un parcours sur les hauteurs du Mont-Royal afin d’éviter d’acheminer la neige sur des sentiers souvent difficiles d’accès.
“Transporter jusqu’en haut toute la neige fabriquée au pied du mont aurait nécessité 500 voyages de gros camions, une tâche trop lourde et un risque de retards”, a expliqué à l’AFP Patrice Drouin, président de la société événementielle Gestev.
Le nouveau parcours, aussitôt validé par la FIS, a été conçu et réalisé en un mois, “un grand défi en milieu urbain”, a-t-il ajouté. Sur le plan sportif, il est “légèrement amélioré par rapport à celui du sommet, avec une piste de 3,5 km et un dénivelé de 111 mètres par tour, c’est un parcours de très haut calibre en pleine ville”, a estimé M. Drouin.