Autres articles
-
A la frontière indo-pakistanaise, la bataille du chapardage des pigeons
-
Découverte d’une molécule qui désarme les bactéries
-
Au Cap, les ambulanciers "prient" avant d'intervenir dans les quartiers chauds
-
Niveau de vie, santé : Le rebond post-Covid s'essouffle déjà
-
Pour les rendre compatibles avec tous les groupes sanguins : Un outil pourrait modifier les globules rouges
Voleur
La police indienne a employé une technique inédite pour retrouver une chaîne en or, contraignant un voleur à ingérer 40 bananes pour restituer le précieux bijou qu’il avait avalé lors de sa course poursuite avec les policiers.
L’homme avait démenti avoir arraché la semaine passée une chaîne que portait une femme dans une rue à Bombay mais la radio effectuée à l’hôpital a prouvé le contraire.
Un lavement avait dans un premier temps été sans succès.
Les médecins ont alors suggéré une opération mais la police a estimé que ce serait trop coûteux et opté plutôt pour l’ingestion forcée de bananes.
“Il a dû manger plus de 40 bananes dans la journée”, a expliqué lundi un haut responsable de la police de Bombay, Shankar Dhanavade, à l’AFP.
“La chaîne a finalement été retrouvée. Nous l’avons obligé à la laver et à la désinfecter”, a ajouté le policier.
Le suspect de 28 ans a comparu devant un tribunal et est toujours en garde à vue, a précisé Dhanavade.
Selon la presse, ce n’est pas une première. En juillet, un voleur avait déjà dû manger deux dizaines de bananes et boire plusieurs litres de lait mélangé à un laxatif, selon le quotidien Hindustan Times.
Chèques
Les quelque 250 employés d’une usine de Bodio Lomnago, dans les Alpes italiennes, ont eu la surprise de recevoir chacun juste avant Noël un chèque de plusieurs milliers d’euros légués par le fondateur de l’entreprise, rapporte samedi la presse italienne.
Décédé en juin à l’âge de 87 ans, Piero Macchi, passionné de mécanique et de bon vin, avait fondé en 1957 Enoplastic, une fabrique de bouchons et étiquettes pour bouteilles de vin qui en produit désormais 2,5 milliards par an et les exporte dans plus de 80 pays.
Peu avant sa mort, il avait discrètement ajouté une clause à son testament pour léguer 1,5 million d’euros aux employés de Bodio Lomnago, près de Varese.
“Tout a été géré par son épouse Carla, ma mère, qui a joint au chèque de chaque employé une lettre de remerciement touchante”, a raconté au Corriere della Sera Giovanna, la fille de Piero Macchi, actuellement co-dirigeante d’Enoplastic.
Les chèques sont arrivés juste avant Noël: les derniers arrivés dans l’entreprise ont reçu 2.000 euros, les plus anciens 10.000, voire plus pour certaines familles que le patron savait dans le besoin.
“Nous nous sommes toujours considérés comme une grande famille et ce cadeau de Noël en est un signe”, ont raconté des salariés au journal Varese News.
La police indienne a employé une technique inédite pour retrouver une chaîne en or, contraignant un voleur à ingérer 40 bananes pour restituer le précieux bijou qu’il avait avalé lors de sa course poursuite avec les policiers.
L’homme avait démenti avoir arraché la semaine passée une chaîne que portait une femme dans une rue à Bombay mais la radio effectuée à l’hôpital a prouvé le contraire.
Un lavement avait dans un premier temps été sans succès.
Les médecins ont alors suggéré une opération mais la police a estimé que ce serait trop coûteux et opté plutôt pour l’ingestion forcée de bananes.
“Il a dû manger plus de 40 bananes dans la journée”, a expliqué lundi un haut responsable de la police de Bombay, Shankar Dhanavade, à l’AFP.
“La chaîne a finalement été retrouvée. Nous l’avons obligé à la laver et à la désinfecter”, a ajouté le policier.
Le suspect de 28 ans a comparu devant un tribunal et est toujours en garde à vue, a précisé Dhanavade.
Selon la presse, ce n’est pas une première. En juillet, un voleur avait déjà dû manger deux dizaines de bananes et boire plusieurs litres de lait mélangé à un laxatif, selon le quotidien Hindustan Times.
Chèques
Les quelque 250 employés d’une usine de Bodio Lomnago, dans les Alpes italiennes, ont eu la surprise de recevoir chacun juste avant Noël un chèque de plusieurs milliers d’euros légués par le fondateur de l’entreprise, rapporte samedi la presse italienne.
Décédé en juin à l’âge de 87 ans, Piero Macchi, passionné de mécanique et de bon vin, avait fondé en 1957 Enoplastic, une fabrique de bouchons et étiquettes pour bouteilles de vin qui en produit désormais 2,5 milliards par an et les exporte dans plus de 80 pays.
Peu avant sa mort, il avait discrètement ajouté une clause à son testament pour léguer 1,5 million d’euros aux employés de Bodio Lomnago, près de Varese.
“Tout a été géré par son épouse Carla, ma mère, qui a joint au chèque de chaque employé une lettre de remerciement touchante”, a raconté au Corriere della Sera Giovanna, la fille de Piero Macchi, actuellement co-dirigeante d’Enoplastic.
Les chèques sont arrivés juste avant Noël: les derniers arrivés dans l’entreprise ont reçu 2.000 euros, les plus anciens 10.000, voire plus pour certaines familles que le patron savait dans le besoin.
“Nous nous sommes toujours considérés comme une grande famille et ce cadeau de Noël en est un signe”, ont raconté des salariés au journal Varese News.