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La bourde
Lundi 16 novembre, le journaliste Jota Abril participait à la matinale de la chaîne publique espagnole TVE quand il a commis une énorme bourde.
Alors qu’il évoquait le groupe Al-Qaïda, sur l’écran derrière lui est apparu le logo... de l’alliance rebelle dans la saga Star Wars.
Le jour-même, le journaliste s’est excusé sur son compte Twitter en expliquant: “Ce matin, j’ai confondu un logo durant mon intervention. Je suis désolé si cela a pu blesser”. Une erreur très regrettable, trois jours après les attentats de Paris qui ont fait 129 morts. Cela n’a pas empêché certains internautes et fans de Star Wars de se moquer du journaliste, là aussi à coups de photomontage.
Lundi 16 novembre, le journaliste Jota Abril participait à la matinale de la chaîne publique espagnole TVE quand il a commis une énorme bourde.
Alors qu’il évoquait le groupe Al-Qaïda, sur l’écran derrière lui est apparu le logo... de l’alliance rebelle dans la saga Star Wars.
Le jour-même, le journaliste s’est excusé sur son compte Twitter en expliquant: “Ce matin, j’ai confondu un logo durant mon intervention. Je suis désolé si cela a pu blesser”. Une erreur très regrettable, trois jours après les attentats de Paris qui ont fait 129 morts. Cela n’a pas empêché certains internautes et fans de Star Wars de se moquer du journaliste, là aussi à coups de photomontage.
Les mouches
Les mouches ont eu raison de l’opiniâtreté de la Mère Michel. Elle vient de baisser les bras et de remiser son tablier. Cette brasserie réputée installée dans une zone d’activités à l’ouest de Montpellier, en France, baisse le rideau définitivement. Elle a été vaincue par une armée de mouches qui envahissait les lieux depuis le printemps dernier.
Christophe, le gérant, a jeté pendant plusieurs mois toutes ses forces dans la bataille. Mais, indisposés, même les clients les plus fidèles ont fini par déserter les tables. L’établissement n’y a pas survécu.
Toutes les entreprises du secteur luttent, comme elles peuvent, contre ces vagues de diptères. Les victimes désignent un coupable : Amétyst, cette usine de traitement des déchets, de méthanisation et de compostage. Lors de son inauguration, en 2008, elle avait été présentée comme un joyau d’avant-garde pour la méthanisation des ordures ménagères. Mais, pendant des mois, elle a été accusée de répandre aussi de mauvaises odeurs.
Les mouches ont eu raison de l’opiniâtreté de la Mère Michel. Elle vient de baisser les bras et de remiser son tablier. Cette brasserie réputée installée dans une zone d’activités à l’ouest de Montpellier, en France, baisse le rideau définitivement. Elle a été vaincue par une armée de mouches qui envahissait les lieux depuis le printemps dernier.
Christophe, le gérant, a jeté pendant plusieurs mois toutes ses forces dans la bataille. Mais, indisposés, même les clients les plus fidèles ont fini par déserter les tables. L’établissement n’y a pas survécu.
Toutes les entreprises du secteur luttent, comme elles peuvent, contre ces vagues de diptères. Les victimes désignent un coupable : Amétyst, cette usine de traitement des déchets, de méthanisation et de compostage. Lors de son inauguration, en 2008, elle avait été présentée comme un joyau d’avant-garde pour la méthanisation des ordures ménagères. Mais, pendant des mois, elle a été accusée de répandre aussi de mauvaises odeurs.